ATTRACTION CHAPITRE 221
Salut les gens XD
Bon je m'attarde pas
je vous dis juste merci de me suivre
je suis vraiment heureuse que vous ne vous lassiez pas de cette histoire et j'espere que ca durera encore longtemps
BSX
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Il portait un jean horriblement cher et jusque-là il n'avait trouvé aucune justification à ce prix exorbitant, jusque-là. Avant que des yeux gourmands ne le mangent durant toute cette longue heure bien trop chaude. Elle avait opté pour un décolleté affolant et ses cheveux détachés volaient autour d'elle si légèrement. Ses yeux maquillés de la sorte étaient incroyablement profonds et sensuels.
Il tentait désespérément de se concentrer sur les techniques de base des ombres et des lumières mais, dès qu'il faisait face à sa classe: il ne voyait qu'elle!
"Monsieur, est ce que certains artistes ne dessinaient que des jeux d'ombres et de lumières pour leurs œuvres?"
Le professeur sursauta légèrement tiré de ses rêveries illégales alors qu'Alizée lui envoyait un sourire chaud et bourré de mauvaises et cruelles intentions. Il se tourna vers sa camarade pour lui répondre, enfin le temps de retrouver son cerveau oublié quelque part dans une certaine poitrine joliment formée.
"Eh bien chaque peintre ou dessinateur l'utilise pour donner du volume aux formes, pour accentuer tel ou tel détail et même en photographie cela a son importance et je n'ai pas de noms en tête."
L'élève acquiesça apparemment fascinée par ses paroles, il évita de fixer la rangée à sa droite mais les rires vers le milieu de la dite rangée l'attirèrent malgré lui, elle jouait malicieusement avec son crayon entre ses lèvres et se mordit les joues quand il se mit à la fixer. Chanel pouffa à nouveau alors que leurs regards s'accrochèrent plus longuement que la morale ne l'autorisait.
Et la sonnerie fit plier les affaires de ces collégiens turbulents à la vitesse lumière, il était le dernier cours avant le week end et sa classe était rarement complète de ce fait.
Il soupira vaincu, sa craie suspendue au bout de ses doigts. Ces ados étaient des cas désespérés. Ils se ruèrent dehors. Chanel chuchota rapidement un truc à son oreille et Alizée la laissa s'en aller.
La féline rangea ses affaires tranquillement dans son immense sac Lancel et s'avança jusqu'au bureau de son professeur si sexy. Sa peau paraissait si chaude et bronzée. Elle s'imaginait passer ses doigts fins dans ses cheveux épais.
Il releva enfin ses beaux yeux gris et recula comme si elle pouvait le blesser.
" Tu.tu.. vous êtes encore là Mlle Trumper?"
Elle hocha simplement la tête et lui sourit, elle avait de ce gloss, le même que son cousin, à la fraise, Tom en raffolait, tout les mecs selon Bill en raffolait.
Elle le fixait d'une manière qu'une jeune fille devrait ignorer. Edak faisait passer en boucle qu'il ne s'agissait que d'une gamine de 15 ans qui craquait sur lui, une de ses élèves. Oui il voulait forcer son cerveau à prendre ça en priorité.
Alizée d'une voix câline:" Je, je voudrais juste un peu d'aide sur une banderole avant de rentrer, est ce que ça vous dérange Mr Edak?"
Il était quasi certain qu'elle n'utilisait pas cette voix d'habitude, ce genre de voix qui tombait directement dans son bas ventre. Elle était si désirable, si.. avec ses talons et ce maquillage,, on pouvait facilement se méprendre sur son jeune âge.
Il fallait qu'il refuse, qu'il la repousse. Il rangea nerveusement le reste de ses affaires.
Edak:" Eh bien je suis assez pressé en fait et.."
Alizée véritablement déçue:" Oh.. c'est dommage, c'était pour l'anniversaire d'une amie et je voulais dessiner un bébé, celui qu'elle attend mais j'ai vraiment beaucoup de mal."
Ouais, elle avait reçu un message de Bill un peu plus tôt et avait commencé une banderole pendant le cours d'avant, en fait elle l'avait séché, avait squatté une salle vide. Elle n'avait trouvé que ce prétexte pour passer un peu de temps avec son fantasme.
Le professeur s'excusa poliment et bougea de derrière son bureau amorçant un pas rapide hors de cette maudite pièce. Il se cru sauver mais la jeune fille se mit sur son passage, il fallait qu'elle tente un truc n'importe quoi.
Alizée insistant:" S'il vous plait, juste un coup d'œil, vous en quelques coups de crayons vous lui donnerez forme et je me débrouillerais après, s'il vous plait professeur."
Edak capitula alors qu'Alizée déroula ses feuilles mises bout à bout savamment scotchée et il y avait tant de couleurs et de gentilles choses écrites sur cette banderole, que son cœur s'emballa. Elle lui montra l'emplacement du bébé qui tenait une rose sans épine parfaitement dessinée.
Il fouilla dans son sac, sortit une trousse et avec son crayon affirma les contours, plaça les yeux, le nez et la bouche. Les pieds et les mains minuscules prirent vie sous les yeux fascinés de la collégienne.
Alizée s'était rapprochée pour assimiler la technique et son visage se trouvait à présent vraiment proche, leurs bras se frôlaient et Edak luttait pour se concentrer sur ce maudit bébé:" Vous êtes si doué professeur."
Elle avait soufflé ces quelques paroles dans le creux de son oreille, si bas, si... le boulot fini il se redressa, un peu vite, le corps d'Alizée, sa poitrine contre son torse et ses grands yeux pétillants d'envie plongés dans les siens.
Elle se dressa sur la pointe des pieds et avança lentement, ses petites mains apposées sur son torse bien ferme et ....
Il craqua.
Ses lèvres enflammées s'accrochèrent à celles plus fines et sucrées de la jeune fille, il gémit quand le parfum fraise enivra ses narines, ses grands mains tenaient fermement sa taille fine en faisant facilement le tour. A peine une pression que l'élève céda et leurs langues s'enroulèrent dans un baiser passionné; Alizée avait la tête qui tournait si vite, son sang dévalait dans ses veines à une allure démente. Son cœur palpitait si fort qu'elle le sentait dans tout son être.
Son premier réel vrai baiser.
Puis ils se séparèrent. Le professeur recula loin, si loin dans la pièce, choqué de son comportement, elle reprenait son souffle les lèvres gonflées et les battements de son cœur trop rapides. Elle prit appui sur le bord du grand bureau et ses yeux fixèrent cet homme complètement affolé.
Edak d'une voix perdue et tremblante:" Je.... je suis désolé, je n'aurais pas dû, c'est inacceptable de ma part , je.."
Alizée capta ce qui traversait l'esprit de son si sexy professeur et sourit, elle le tenait:" Professeur, je.. pourrais me taire?"
Cette proposition était lancée sur un ton qui ne présageait que de gros ennuis, il fronça les sourcils et elle jubila intérieurement. Elle le voulait tellement, et d'avoir observé son cousin durant des années lui avait appris quelques petits trucs utiles sur l'art de la manipulation. Même si c'était très vilain.
Elle le voulait tellement.
Edak toujours chamboulé, enfin pas assez pour s'empêcher de dériver sur sa poitrine, ses jambes, merde. Alizée sourit de plus belle, car il la voulait aussi.
Edak:" Te taire?"
Alizée acquiesça:" Et bien ça dépend de vous professeur, si vous êtes gentil avec moi je me tairais."
En réalité, cette assurance n'était qu'une façade très fine, et il ne lui fallait rien pour qu'elle se fissure. Peut-être qu'elle ne devrait pas mais Bill.. Bill avait toujours obtenu tout ce qu'il désirait en agissant de cette façon, pourquoi pas elle ?
Edak avait très bien compris, trop bien compris les sous-entendus et en refusant de rentrer dans ce jeu pervers, il risquait trop gros. Là il avait merdé une fois, il pourrait s'en sortir avec une excuse minable, ouais il pourrait aller dans le bureau du proviseur et s 'en sortir.
Alizée du sentir le vent tourner et elle n'aima pas ça, ouais parce qu'elle devrait être si.. salope pour avoir plus.
Edak tentant de raisonner son élève:" Je ne peux pas être comme ça avec vous, c'est interdit, c'est illégal et je ne peux pas."
Ouais. Elle avait cru que ce serait plus facile, il résistait et ...
Alizée refusant d'abandonner:" Mr Edak, ce serait si stupide de gâcher votre carrière pour ça, je veux dire que diront les gens quand ils sauront, les parents? La police? Vous me regardiez tellement, vous me frôliez, vous me reteniez avec ces cours privés professeur.."
Oh elle savait que c'était mesquin et méchant et elle se détesta d'en arriver là. Elle se sentit mal et s'écroula sur la première chaise venue. Elle ne pourrait pas l'avoir. Elle avait échoué alors ?
La voir céder et se fissurer aurait dû le libérer mais il eut juste de la peine.
Edak d'une voix gentille:" Alizée... je sais que tu n'es pas ce genre de filles alors, rentre chez toi avec ta famille et tes amis, nous reparlerons de tout ça lundi calmement. "
Alizée renifla et il ne put s'empêcher de passer une main réconfortante sur son épaule, ses petits bras encerclèrent sa taille et ses larmes trempèrent sa chemise bleue.
Il la laissa pleurer autant qu'elle en eu besoin et chercha dans ses souvenirs s'il avait pu provoquer ce genre des sentiments avec des mots ou des gestes. Est ce qu'il était responsable de ce cœur brisé?
Edak:" Des millions de garçons reverraient d'être avec toi, moi je suis vieux et .."
Alizée se reculant:" Arrêtez ça, ça ne marchera pas. C'est vous que je veux."
Ses yeux brillaient encore à cause de ses larmes et il la trouvait encore plus irréelle, il ne contrôla pas sa main qui caressa sa joue humide et leurs souffles se mélangèrent à nouveau.
Il était foutu, il le savait.
...
Tom avait l'impression d'être au milieu d'un tourbillon incessant, la voix de Julia se faisait de plus en plus lointaine alors que le tas de guirlandes dans ses bras avait bien diminué. Tout ce brouhaha, toute cette agitation...
"Tom ? ... Tom, tu m'entends ?"
Bien sûr qu'il l'entendait mais il n'en pouvait plus de ça, il ne pouvait pas supporter un tel ascenseur émotionnel. Il n'était pas comme Bill, il aurait aimé, tellement aimé oublier et passer à autre chose, mais tout effacer avec une fête était au-dessus de ses forces.
Ses amis, sa seconde famille allait débarquer et Gus, il ne voulait pas lire de la déception ou de la pitié dans les yeux de son frère. Il ne le supporterait pas.
Il se sentait faible et fatigué, ses bras tombèrent le long de son corps laissant les guirlandes s'étaler au sol autour de lui, ses yeux étaient perdus dessus. Son cerveau ralentissait, se déconnectait de ce monde trop brutal.
"TOOOOMM !" Appela plus fort et paniquée la jeune fille en secouant son bras.
Il n'avait ni envie de bouger, ni de lui répondre. Il ferma les yeux forts en espérant se retrouver ailleurs en se téléportant, et les images de cadavres et de sang envahirent sa tête. Il ne pouvait pas oublier ça.
Ses jambes allaient le lâcher quand....
Un apaisement, un pansement...., ce corps qui se collait au sien était si rassurant, cette voix qui lui chuchotait des reviens moi Tommy était si réconfortante.
"Liebling, je suis là, avec toi, grâce à toi, et je t'aiderais à sortir cet enfer de ta tête mais il faut que tu reviennes."
Alors il ouvrit les yeux et serra Bill de toutes ses forces, son corps tremblait, puis quelque chose, Quelque chose pénétra son esprit, quelque chose de plus fort que l'horreur, quelque chose qui le faisait vibrer depuis que Bill avait volé son cœur.
L'androgyne fit s'écrouler toutes ses barrières entre eux, et il se rendit compte que celles de Tom n'avaient jamais été remontées, il se rendit compte d'à quel point il avait besoin de lui. Il plongea en lui, envoyant tout son amour tel une tempête puissante qui balaya violemment le sang et tout le reste, alors ses tremblements cessèrent complètement et sa prise se fit plus tendre.
Il respirait vite, il n'osa pas affronter son petit ami, il se sentait étrangement honteux d'avoir tapé une crise d'angoisse devant tous ces gens.
Mais la main de son ange redressa son menton et un sourire radieux éblouirent ses yeux perdus.
"Hey ?" Souffla doucement Bill
Tom hocha la tête et se recala sur la réalité et le monde autour, Jack fronçait durement son visage littéralement inquiet.
"Tu devrais aller t'allonger mon garçon, je vais faire un petit examen pour m'assurer que tu ne couves pas quelque chose." Annonça-t-il d'une voix autant autoritaire que bienveillante.
Bill enlaçant ses doigts aux siens:" Viens Tommy, je monte avec toi."
Et il suivit le mouvement, grimpant l'immense escalier de marbre en s'accrochant fort à la main de Bill pour ne pas perdre pied à nouveau. Est ce qu'il était en train de devenir fou ?
Parce qu'il réalisa que sans Bill il n'aurait pas eu la force de remonter.
Le calme de leur chambre enleva une certaine pression de ses épaules, il s'allongea et se sentit vraiment mieux lorsque Bill s'installa contre lui, une main câlinant son visage.
Tom tentant de le rassurer:" Ca va Bill, je... Je crois que je vais rester là un peu et ca ira."
Sa voix était incertaine et le médecin sortit son stéthoscope et Bill retira le T-shirt de Tom sans trop le bouger, il ne le montrait pas mais il était mort d'inquiétude. Il sentait que Tom risquait de sombrer et ça lui foutait une trouille monstre.
"Est ce que ce genre de crise vous est déjà arrivé ?"
Tom secoua la tête, mais en même temps c'était la première fois qu'il tuait autant de monde. Qu'il tuait tout court.
Jack:" Ma fille vous a appelé un moment et vous ne réagissiez pas, est ce que Bill est le seul à pouvoir vous atteindre dans ces cas-là ? "
Sa question était sincère avec un fond de curiosité, car avec quelques mots seulement il avait sorti Tom de sa léthargie. Et le docteur savait de par son expérience que ce n'était pas une chose si facile de reconnecter certaines personnes avec le monde extérieur.
Il se doutait de ce qui avait causé ça mais ils niaient tous, Bill le premier. Que pouvait-il faire de plus que de garder un œil sur eux ?
Tom ouvrant la bouche s'exprimer sur sa crise:" Bill et moi on est comme connectés et.. Oui je, je pense que seul Bill peut me récupérer dans ces cas-là."
Jack soupira:" Je vais rallonger votre arrêt jusqu'aux vacances de la Toussaint, et après cette fête, restez au calme, je pense que vous avez besoin de récupérer. Et si cela se reproduit, il sort sa carte, je vous en prie appelez-moi."
Bill se saisit du bout de carton et le glissa entre ses doigts fins, et même si ce bon docteur ne pouvait pas vraiment les aider, c'était au moins une personne qu'il pourrait appeler si Tom allait trop mal. Il sortit son Iphone et enregistra son numéro juste au cas où..
Il ne pourrait pas supporter que Tom perde pied sans qu'il n'ait tout tenté.
...
Simone supervisait toujours les opérations mais son cœur était ailleurs. Gabriel tenta de la réconforter alors que Judith fit claquer ses Prada en sa direction.
Impressionnée par tout cette agitation:" Eh bien ? Ces préparatifs sont pour quelle occasion?"
Elle avait complètement oublié de prévenir son amie de l'arrivée des Schäfer sur Nice et se mordit les lèvres, et puis il fallait qu'elle lui parle de son fils, il aurait besoin de sa mère pour sortir de cette dépression.
Gabriel:" Je vais vous préparer mon cocktail magique, et vous pouvez aller discuter tranquillement dans le petit salon derrière ?"
Simone hocha la tête pensive alors que son amie partit la première vers la petite pièce plus intimiste et meublée avec des fauteuils en velours si moelleux, elle aimait s'y réfugier pour lire quelques romans quand son travail ne l'avait pas harassée.
Judith bien installée dans l'un d'eux:" Que se passe-t-il Simone?"
Simone:" Oh je suis désolée Judith, j'ai bêtement oublié de te prévenir. Les Schäfer vont bientôt arriver et c'est l'anniversaire de la petite Sarah et j'ai pensé que quelque chose de joyeux nous ferait du bien."
Sa voix était si triste, comment une cérémonie festive pouvait rendre son amie si triste? L'incompréhension régnait sur tout son visage car ce n'était tout de même pas la fin du monde qu'elle soit mise au courant si tardivement.
Judith: "Simone, ne t'en fais pas, c'est un oubli sans importance; Je pense que Tom va être ravi de les revoir, j'espère que ça lui fera du bien. Je le trouve si... ailleurs en ce moment, après ce qu'il a vécu, je suppose que c'est normal mais je ne peux pas m'empêcher d'être inquiète à son sujet."
Simone soupira alors que Gaby leur apporta leur boisson d'une couleur un peu étrange. Et il s'éclipsa tel un gentleman.
Simone: "Tu... je crois que Tom va très mal Judith et que cette grosse fête est une mauvaise idée. Il a fait une sorte de crise, on l'appelait et il ne répondait à personne, seul Bill a pu... je suis tellement désolée. J'aime ton fils et je voudrais l'aider."
Judith hocha simplement la tête, Tom avait toujours tout surmonté, pourquoi craquait-il maintenant? Pourquoi maintenant alors que leur vie reprenait enfin un sens positif. Elle posa son verre et se leva.
Et si Simone avait raison ?
Judith:" Je vais le voir."
...
Jack avait donné l'arrêt maladie à Gabriel. Il quitta la villa laissant sa fille profiter de cette fête non sans l'accord de la maitresse de maison, elle n'était pas à une personne, de plus Julia avait tant participé pour les décorations, qu'elle avait mérité sa place.
...
Bill complètement collé à son dreadé:" Tommy... qu'est ce qui s'est passé?"
Tom:" Je sais pas, enfin j'ai besoin de calme, de me poser et de digérer je crois. Et tous ces gens qui fêtent un anniversaire alors qu'il y a eu tant de morts...
Ça m'a ... c'était trop. Et puis je vais mal, je le sais mais je ne sais pas à quel point Bill et ça me fait peur."
Tom pleurait à présent, il pleurait tous ces meurtres. Pleurait tout ce qu'il avait dû supporter à Berlin, tout ce qu'Arkady avait fait remonter à la surface. Il pleurait, de gros sanglots comme jamais;
Il craquait complètement.
Bill s'enroula à lui, enroula ses jambes, ses bras, ses mains. Posa sa tête sur la sienne. Mais Tom ne se calmait pas, il pleurait toujours plus fort, si fort ...
Bill:" T'es pas seul Tommy, je suis là. Et à deux on y arrivera."
Ils n'avaient pas entendu que quelqu'un avait frappé, pas entendu des pas s'approcher d'eux, seuls les sanglots de Tom envahissaient la pièce et Bill tentait de le rassurer et de le réconforter autant qu'il pouvait mais il sentait qu'il ne serait peut être pas assez fort pour supporter que son Tommy soit si mal.
Des larmes lui montèrent aux yeux, yeux qu'il ferma.
Il sentit à peine le lit s'affaisser.
Il réalisa juste qu'une personne tenait Tom aussi fort que lui de l'autre coté.
Judith soufflant: "A trois, à trois chéri."
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Aloooooooooooorrrrrrrrssssssssssssssssssssssss ?
Alizée est bien la digne cousine de son cousin,non?????
Je sais pas encore comment ce couple va tourner mais vous avez voté pour ça hein XD il y a longtemps certes.
Et sinon.
Oui Tom est bien bouleversé le pauvre mais Bill est là et aussi Judith.
J'espère qu'elle remonte dans votre estome,non?
J'attends vos avis avec une grande impatience et promis Gus arrive dans le prochain.
nan mais j'attends VRAIMENT vos avis pleaaassssssssssseeeeeeeee