ATTRACTION CHAPITRE 242
Note utilisateur: 5 / 5
Bonjour bonjour les gens xD
j'ai du changé la gestion de certaines choses comme la news letter: effectivement anothertime ne donne plus signe de vie donc j'en ai crée une autre.
Pour s'inscrire envoyez moi un mail avec dans le message votre adresse mail et votre pseudo:
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Je tiens également à vous informer qu'apparemment certains blog ont été supprimé par skyrock sans que les propriétaires n'en ai été informés: je vous conseille de faire des sauvegardes de vos blogs par prudence.
Sachez que si un jour, vous vous apercevez que mon blog n'est plus en ligne: je posterais mes chapitres sur www.lovelybibi.fr
Je suis en train de le mettre en forme.
J'ai aussi fait du ménage au niveau des VIPs et je vous rappelle qu'être inscrite à la news letter ce n'est pas être inscrite en VIp mais que je souhaite que les Vips soit inscrites à la news letter.
Pour être Vip, il vous suffit de commenter régulièrement et je vais refaire les comptes.
et tant pis pour les fantômes qui refusent de se manifester.
Je vous laisse à présent profiter de ce chapitre et vous souhaite un bon week end.
********************
Bill se tenait avec nonchalance contre le mur de la cabine de douche en se raccrochant comme il pouvait à Tom, la totalité de ses muscles étaient devenus une compote molle et fainéante et ses jambes peinaient à supporter tout son poids. Et dans ces moments là il adorait plus que de raison sentir la force de Tom: il lui semblait ne rien peser dans ses bras. Il sourit alors que d'un bras son dreadé le déplaça sans aucun mal..
Tom était foutrement si fort et Bill gémit à cette pensée.
"Je ne t'ai même pas caressé." Observa le blond amusé par les réactions de sa diva.
" Si fort Tommy, si fort.." ronronna Bill dans le creux de son épaule et touchant la courbure d'un des muscles de son avant bras.
Tom sourit largement heureux de susciter un effet pareil sans presque rien, il colla juste un baiser sur la joue de son petit ami et continua leurs toilettes. Il adorait ces moments n'appartenant qu'à eux et adorait que son ange les adore tout autant que lui.
Tom le savonnait gentiment et ses pensées se tournèrent vers Line, ca l'ennuyait franchement de briser cette nouvelle amitié. Il espérait qu'elle abandonne car il ne pourrait jamais accepter qu'elle continue ce petit jeu avec Tom.
Le blond tentait de les laver tout les deux, évitant comme il pouvait de mouiller ses dreads mais Bill eu bon cœur et lui maintint hors du jet.
"J'ai smacké Caroline." Lâcha-t-il sans vraiment y penser.
Tout raconter à Tom était devenu comme une évidence, et il n'avait pas le sentiment que c'était quelque chose de mal puisqu'il n'avait brisé aucune règle. Ils s'étaient mis d'accord là-dessus il y a plusieurs semaines. Pourtant les muscles de son petit ami se tendirent un peu et il su qu'il s'était trompé.
"Merde? Ca te blesse? Tom?" commença à paniquer le brun en se redressant légèrement.
Tom réfléchit une seconde, ça aurait pu vraiment le blesser si ça n'avait pas été une fille:" Ca dépend de la raison."
Bill le fixait avec ses grands yeux de chats et expliqua en alignant les mots rapidement:" Ouais on papotait tu sais et j'étais si transpirant, alors pour mieux me rafraîchir j'ai enlevé mon T-shirt, c'est une fille alors j'ai pas pensé tu sais qu'elle pourrait me voir comme les filles te voient toi et bref, elle était si rougissante, c'était pour l'embêter: une blague tu vois. "
Bill mordilla sa lèvre nerveusement, attendant la sentence, il ne supporterait pas de briser Tom un peu plus, c'était la dernière chose au monde qu'il souhaitait. Et en expliquant sa raison à Tom, il se trouvait encore plus stupide et minable: qui embrassait les gens pour s'amuser, sérieusement?
Tom sourit, Bill n'avait pas changé d'un iota à ce niveau, doutant perpétuellement des limites entre eux, son Bill impulsif, direct, franc et Gott! Il l'aimait tellement que ça lui brulait les entrailles. Il le rapprocha un peu plus et mordilla ses lèvres. Bill était si bon.
Tom tout de même rassuré:" Ne le fais plus pour ça okay."
Bill se resserra plus contre le dreadé l'empêchant ainsi de continuer de le nettoyer correctement et d'une voix prudente:" Alors je peux te blesser en étant trop proche d'une fille?"
Tom ferma les yeux, il lui fallut quelques secondes pour réaliser:" Ouais, je crois qu'en ce moment j'ai trop besoin de toi pour supporter que tu donnes de l'attention à n'importe qui d'autre. Putain, je pourrais même être jaloux d'un hamster je crois."
Bill sourit:" Alors je ferais attention."
Tom le repoussa un peu à contre cœur avant d'imbiber rapidement ses mains de mousse et de se frotter un peu près partout. Bill puisa dans ses dernières doses d'énergie pour nettoyer le dos de son petit ami avec de longues caresses qui lui arrachèrent quelques soupirs de plaisir..
...
Bill avait enfilé un short jaune poussin qui lui arrivait juste au dessus des genoux et un débardeur blanc assez masculin contrastant complètement avec ses cheveux noirs tombant tout autour de son visage. Il avait chaussé des lunettes de soleil de marque, les rayons lui cassaient la vue depuis un moment aujourd'hui. Et des vieilles Nike toutes aussi blanches.
Sans maquillage, ni aucun bijoux, il débarqua dans le salon. Grundel apportait l'entrée, il visa la pendule: 12H28, pile poil à l'heure.
Judith aidait à la préparation et Bill décida de faire quelque chose comme apporter la boisson.
Grundel bugga un instant:" Même avec rien, ce garçon est d'un beauté, regarde ça Judith, Grundel s'avance et touche la joue délicate de Bill qui sourit, tu dois faire des ravages dans les deux camps!"
Judith:" Ne parle pas de ça, Tom a eu du mal à s'y faire, je ne suis même pas sûr qu'il le supporte aujourd'hui."
Alors elle avait remarqué ça aussi ? pensa Bill en la fixant intéressé. Il y avait une dose d'inquiétude dans sa voix et ses yeux, comme si elle craignait qu'un rien ne fasse tout basculer, qu'un rien lui fasse perdre Tom.
Bill d'une voix douce s'adressant à Judith:" Les autres n'ont pas d'importance."
Elle lui adressa un sourire: "Emporte ce plat chéri et pose le au milieu."
Bill obéit, Tom mettant un peu plus de temps pour son bandeau et gagner ce match contre sa masse de dreads récalcitrante, le brun avait bien entendu tenter de l'aider mais Tom l'avait supplié d'aller à table: si les deux arrivaient en retard, sur qu'ils auraient eu droit à de sacrées remontrances.
Pourtant Grundel ne paraissait pas cette femme si autoritairement implacable.
Judith détailla un peu Bill, il était rare qu'il soit si naturel et si.. banal en quelque sorte.
"Je ne crois pas t'avoir déjà vu avec des vêtements si ordinaires."
Bill sourit tout en remplissant de coca son verre et celui de Tom:" Ouais mais ici tout se salit vite et tout, je ne veux pas abîmer mes vêtements de diva."
Grundel rit à cette remarque:" Alors tu es une diva à Nice?"
Tom arriva enfin de bonne humeur:" La pire de toutes 'Ma."
Grundel curieuse: "Raconte moi ça?"
Et Bill lui conta un peu sa vie là bas, cette sorte d'attraction qui faisait que les gens lui tournaient autour, la façon dont certains voulaient s 'imposer violemment dans sa vie avant Tom et puis après Tom, et Bill s'illuminait dès qu'il faisait référence à son Tommy pour n'importe quoi: la façon dont il l'avait protégé et sortit de toutes sortes d'ennuis et surtout ce vide qui était devenu quelque chose de plein et de lumineux à l'intérieur de lui.
Grundel souriait à chaque nouvelle chose: Bill irradiait d'un bonheur si intense, un bonheur que Grundel ressentait à travers chaque mot, ainsi que Judith et surtout Tom, Tom qui recevait ça en mille fois plus et c'était si bon à sentir. Bill était si communicatif. Tous avalaient ses paroles et Grundel fut surprise par pas mal de choses et une en particulier.
"Et tu es devenu la star de Nice? Dans ton lycée, plus que ces sportifs? A mon époque les athlètes étaient toujours les préférés."
Bill enthousiaste:" Hey bien, certains sont en quelque sorte quelque part sous moi et Tom dans le classement. Mais j'ai été vraiment une garce pour arriver à ça. Et les gens m'aimaient quand même toujours. Je n'ai jamais compris d'ailleurs. Enfin je comprends en partie car les gens ont toujours été attirés par moi depuis que je suis petit, c'est assez hallu..."
Grundel acquiesçait de temps à autre alors que les plats défilaient devant eux et que Bill ne cessait de parler, et Judith se sentit plus proche de son fils en apprenant certaines parties de sa vie dont elle était exclue jusqu'ici.
"Vous voyez, plus je les frappe et je les frappe vraiment et plus ils en reveulent! J'en ai mordu certains si fort..." expliqua le brun tentant de trouver un sens à ce comportement masochiste.
Grundel éclata complètement de rires parce qu'honnêtement les yeux de Bill, tout le visage de Bill était celui d'un ange empreint de douceur et d'innocence, de.. elle aurait juré qu'il était encore vierge s'il n'avait pas été le petit ami de Tom.
Comme un petit chaton qui venait de naître.
"Tu as un petit ami vraiment étonnant."
Tom fier et heureux:" Je sais et j'adore qu'il soit comme ça."
Grundel le regarda encore et posa ses couverts:" Je ne peux pas croire que tu puisses mordre."
Bill amusé mordit à ce moment là dans sa cuisse de poulet en grognant et toute la tablée éclata franchement.
...
Judith étouffait Tom dans ses bras, laisser son fils était plus difficile que prévu, elle avait bien tenté de négocier un congé mais son patron ne lui avait pas accordé: on lui avait confié un sacré dossier d'un nouveau client important. Et c'était une preuve de confiance et un honneur car elle avait intégré le cabinet il y a seulement deux mois de ça. A présent complètement bilingue, son talent avait époustouflé tout le monde.
On murmurait même dans les couloirs qu'elle passerait surement associée...
C'était une opportunité qu'on ne croisait qu'une fois.
Mais à ce moment précis, elle luttait de toutes ses forces pour ne pas lâcher des torrents de larmes et Tom fermait les yeux, profitant juste de cet amour qu'elle lui montrait sans se limiter.
"M'amn, je rentre dans 1 semaine tu sais."
"Je sais, je sais chéri." Articula-t-elle avec un sourire sincère
Dans une semaine, Gabriel et Simone avaient pris leurs dispositions pour les ramener.
Elle le libéra enfin et se tourna vers Bill se tenant à sa gauche contre Tom et dans la surprise générale elle le serra aussi dans ses bras tout aussi fort. Pris au dépourvu il resta droit comme I les bras pendant misérablement le long de son corps. Il avait les yeux grands ouverts.
Puis il se détendit et lui rendit son câlin.
"Je veux que tu veilles sur lui Bill et appelle moi pour n'importe quoi, je veux être là dès que mon fils va mal, il faut que tu me le promettes."
"Je le ferais Judith, je resterais avec lui tout le temps, comme d'habitude, même que ça vous énervait qu'on soit si collés."
Judith se décala et rit un peu. Effectivement, si collés tout le temps ensemble, elle avait eu un mal fou à s'y faire, comme s'ils leur étaient incapable de respirer l'un sans l'autre mais dans ce cas, ça la rassurait.
"Oui, mais à présent je suis contente de ne pas vous en avoir dissuadés, de savoir que tu seras avec lui en permanence me rassure."
Tom enlaça son ange un peu perturbé par l'attitude de Judith, à quel point avait-elle eu peur au juste?
"M'amn tu sais bien que je peux rien faire sans Bill alors t'inquiète pas."
"Je t'appellerais tout les jours et ne jette pas mes appels."
Tom gratta un peu son front:" Et euh, en fait j'ai confié mon téléphone à Bill, je t'appellerais moi plutôt, ça te va?"
Judith insistant avec ses yeux:" Tout les jours Tom."
Tom prenant sur lui pour ne pas souffler d'exaspération, il n'était pas habitué à ça:" Oui maman, tout les jours c'est promis."
Grundel eu également un câlin, elle promit à son tour de veiller sur le jeune homme car elle comprit aux yeux inquiets de Judith qu'elle ne savait que très peu de choses sur ce qui s'était passé à Nice et qu'apparemment ça avait été un sacré enfer. Il y a des années de ça il était si énergique, il bougeait et s'en allait à des kilomètres par gout de l'aventure et souvent elle avait ignoré où il se trouvait. Elle ne pouvait pas s'inquiéter encore pour ces choses là.
Puis la Berline quitta l'allée à coups de klaxons et de grands signes de mains. Tom se colla un peu plus à Bill, ca l'avait chamboulé, l'attitude de sa mère l'avait complètement mis à plat.
"Je le crois pas, qu'elle m'ai fait un câlin!" s'étonna encore Bill
"Moi non plus." Souffla tom en fixant la voiture qui n'était plus qu'un minuscule point noir loin sur la route.
Le dreadé épuisé par cet afflux d'émotions et le vélo était remonté directement dans le grenier aménagé alors que Bill trainait un peu pour aider Grundel à finir de tout ranger.
Grundel:" Bill, je n'exige pas beaucoup de choses: juste un peu d'aide à la ferme le matin et de savoir où vous êtes. Je n'ai jamais vu sa mère aussi inquiète."
Bill hocha la tête:" Tom ne va pas très bien et c'est pour cette raison qu'on est là, la vérité est que je déteste la campagne mais on ne disparaitra pas sans prévenir. De toutes façons je ne lâcherais pas Tom plus de 5 minutes."
Grundel finissait d'essuyer les derniers verres et son œil fut attiré par un papier qui dépassait de la poche de l'androgyne, un papier en très mauvais état qui menaçait de tomber. Bill se retourna et le prit dans ses mains le repliant correctement, si Grundel tombait là-dessus, ils étaient fichus.
"Dites, est ce qu'il y a un moyen de se rendre en ville d'ici, Tom aurait aimé y aller et puis moi aussi en fait." Tenta l'androgyne
"Eh bien ce n'est qu'à une vingtaine de kilomètres, je peux vous y déposer et.."
Bill secoua les cheveux, c'était impossible aux dires du blond la ville se situait à plus du double de distance d'ici. Non, vraiment ils ne parlaient pas de la même ville.
"Vous ne voulez pas être encombrés d'une vielle femme?" s'offusqua faussement Grundel.
" Si les gens vieux étaient tous comme vous et bien ce mot n'existerait même pas!"
Les yeux clairs de Grundel lui sourirent.
" En fait c'est une plus grande ville à 50 kilomètres d'ici."
"Oh.. Baden Baden? "
Bill haussa les épaules, il n'avait aucune fichue idée du nom de la dite ville mais Grundel semblait ennuyée: il est vrai que c'était à une sacrée distance et qu'elle n'était pas une baby sitter ou leur taxi. De toutes manières Bill ne voulait pas abuser de sa gentillesse.
"Pourquoi aller si loin?"
"Euh.. Tom voulait des renseignements pour un truc et apparemment y'a que là bas donc voilà mais on peut je sais pas y aller en bus ou en tracteur, Tom doit savoir conduire ça?"
Grundel rit de bon cœur:" Vous mettriez des heures en tracteur et la dernière fois qu'il en a touché un ça s'est mal terminé."
"Oh.. j'aurais aimé voir ça."
"Il avait 10 ans, il a fait une course avec ce gars du village de 4 ans son aîné: Tom allait gagner mais le moteur à lâcher, je crois qu'il a mis des jours à se calmer et deux à le réparer."
"Oh... merde!"
Tom était juste dingue, carrément dingue comme lui et ils s'étaient franchement bien trouvés. Peut être qu'il y aurait moyen d'avoir une revanche si ce gars trainait toujours dans le coin....
"Glenn doit encore avoir ces cyclomoteurs, je vais l'appeler tout à l'heure."
Bill hocha la tête satisfait et envoya un grand sourire à Grundel qui le lui rendit. Puis pensa à Tom.
"A tout à l'heure alors."
"A tout à l'heure Bill." Lui répondit-elle vraiment gentiment.
Il s'approcha d'elle et la serra furtivement dans ses bras avant de disparaitre. Tom avait eu raison dès le départ: cette femme était juste géniale et adorable.
...
Il distingua nettement des sons de guitare en escaladant l'escalier. Il tenta de ne pas le faire trop grincer mais c'était peine perdue. Puis il se dirigea vers le lit, complètement crevé, Tom était assis au bord, jouant Sad de Maroon 5. Bill s'installa près de lui, posant une main sur sa cuisse et fredonna quelques paroles donnant plus de motivation au dreadé.
Ils restèrent ainsi un moment juste à se détendre et profiter de la présence de l'autre: les mélodies s'enchainaient et la voix de Bill s'accordait si bien à sa Gibson. Il joua jusqu'à ce que la guitare lui paraisse lourde, ses muscles aussi étaient fatigués. Il la posa au sol et s 'allongea à coté de Bill qui se colla à lui immédiatement.
Sa main caressa la joue parfaite de l'androgyne et leurs lèvres se rencontrèrent, se caressèrent doucement. Tom plaça une main sur ses hanches, l'amenant plus contre lui. Bill s'appuya contre Tom, déposant ses mains sur son torse bien dessiné et pencha un peu sa tête sur le côté pour approfondir le baiser. Il sentit la langue de Tom se faufiler entre ses lèvres et les entrouvrit, l'accueillant avec avidité. La langue de Tom pénétra la bouche chaude et humide de Bill, trouvant immédiatement la boule de métal sur sa langue. Il joua avec récoltant un gémissement audible qui lui arracha un sourire. Ils s'embrassaient doucement, délicatement et profondément. Bill aimait la façon dont Tom prenait le contrôle, changeant ce simple jeu de langues en une expérience furieusement agréable
Tom roula complètement sur Bill. Rien ne pourrait se glisser entre eux, pas même un bout de papier. Puis ils durent respirer et cassèrent le baiser, leurs souffles se mélangeaient toujours.
Bill avait ses yeux fermés et sa respiration ralentissait doucement, il manquait cruellement de sommeil, Tom l'embrassa à nouveau du bout des lèvres en descendant du brun qui se tourna en fœtus attirant Tom contre son dos, Tom passa ses bras autour de lui et embrassa son cou tendrement.
"Dors mon ange que j'aime plus que tout." Lui susurra-t-il alors que ses yeux se fermaient à leur tour.
"Je t'aime, fort fort fort Tommy." Lui répondit Bill d'une voix engourdie de fatigue.
...
******************
C'était un chapitre calme et centré sur les amoureux, après tout ils méritent un peu de calme lol XD
Donc j'attends vos impressions en espérant que cela vous a plu XD
A bientôt
