ATTRACTION CHAPITRE 258
Bonjour les gens xD
Bon vous êtes là à me lire donc vips.. oui oui 12 comms sur le dernier ca m'a énervée en fait donc voilà, j'attends que les fantômes se réveillent, et puis j'aviserais.
Sinon, alors ce chapitre aurait du etre plus long mais je n'avais pas le temps d'écrire plus donc ils e termine bah un peu comme ça mais bon.
Bonne lecture XD
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Roméo vêtu d'un jean noir ajusté parfaitement à ses fesses avantageuses et d'une chemise rouge entrouverte sur le haut laissant entrevoir un duvet léger sur sa poitrine, était incroyablement excitant et sexy ... tout un tas de mots du même champ lexical traversèrent le cerveau de la pauvre Judith qui resta bloquée en ouvrant la porte sur ce physique de mâle avantageux.
Quelques secondes furent nécessaires avant qu'elle ne décroche un sourire, non sans transformer l'une de ses mains en éventail pour rafraichir son visage, sa température corporelle venait de grimper de plusieurs degrés.
"Je t'en prie entre!" chanta-t-elle en se décalant invitant ainsi le jeune homme.
Il lui sourit, un sourire chaud et agréable qui ne fit qu'aggraver son cas. Une fois à l'intérieur, il saisit sa taille et déposa un doux baiser sur ses lèvres qui la fit fondre comme une guimauve plongée dans un incendie. Et malgré ses jambes flageolantes elle réussit miraculeusement à les conduire jusqu'à la table.
Judith avait chaud, si chaud... pourtant la clim était réglée sur 22 degrés.
"Et bien... toi tu ne fais pas les choses à moitié... j'adore les chandeliers."
Une version électrique qui recréait l'ambiance d'un petit restaurant romantique à la perfection, tellement que Judith craignit d'avoir exagérée, après tout ils se connaissaient à peine, même pas du tout. Aucune de leurs conversations n'avait excédée 5 minutes, et elle avait simplement souhaité y remédier.
Il jeta sa veste en jean sur l'un des dossiers et s'installa nonchalamment sur l'une des chaises, ses yeux rivés sur elle et uniquement elle. Elle sourit et s'installa à son tour et Kate apporta l'entrée.
"Alors Roméo, à part ton nom je ne connais rien de toi."
"Tu sais que je fais bien l'amour." Lança-t-il avec un grand sourire charmeur qui n'arrangea pas l'état d'ébullition de l'hôtesse.
"Je ne peux pas te contredire.. mais à quoi consacres-tu le reste de tes journées?" insista-t-elle.
Elle l'imaginait bien mannequin ou dans un métier où il fallait séduire, quelque chose où il pourrait se mettre en valeur et briller, comme elle lors de ses plaidoiries.
"Je suis étudiant en cinéma, il me reste un peu plus d'un an avant de décrocher le sésame."
Judith faillit s'étouffer avec la gorgée de vin qui passa difficilement dans sa gorge. Elle le fixa complètement étonnée, le dévisagea comme si elle tentait de décrypter un message secret..
Le choc se lisait partout sur son visage, dans ses gestes, même dans sa respiration.
"Mais tu.. tu as quel âge?" parvint-elle à articuler malgré tout.
"22 ans. Et toi?"
"22 ans.. tu as 22 ans.. c'est, c'est...Roméo, tu es trop jeune pour moi, je pensais, tu fais plus que ton âge et je.. même si je me doutais que tu avais quelques années de moins.. tu es encore à l'école!" s'exclama-t-elle en ingurgitant un autre verre.
Son rire grave s'échoua dans ses oreilles telle une douce musique, et elle eut la mauvaise idée de rencontrer ses yeux foncés d'une profondeur où se noyer était pur délice, elle serra sa serviette sur ses genoux et lutta contre sa propre morale.
"Ca ne peut pas, on ne peut pas continuer. J'ai presque le double de ton âge, j'ai un fils de 16 ans et.. oh il ne doit jamais savoir ça!"
"Tu ne penses pas qu'il est un peu trop tard pour regretter et puis j'ai envie de déguster ce diner en ta compagnie.. quand j'aurais ce diplôme, je te donnerais un rôle dramatique dans mon premier film." Se moqua l'étudiant.
"Ce n'est pas drôle!" le contra-t-elle mal à l'aise et lui était si détendu face à l'impossibilité d'une continuité.
"Tu me plais Judith alors si ta seule raison pour m'écarter de ta vie est notre différence d'âge, il va falloir trouver mieux car à notre époque ce n'est plus un argument valable."
Elle se crispa, le jeune homme tenait apparemment à continuer cette folie, mais.... il était si sexy, si bon à regarder...il se lasserait bien le jour où il rencontrerait la femme de sa vie car elle ne l'était pas assurément.
"Tu..Tom va me .."
"Ton fils? Ca ne le concerne pas, tu n'as pas à avoir sa permission pour être heureuse."
"Tu ne comprends pas, il est tombé amoureux d'un garçon et je.. je déteste toujours cette idée d'ailleurs et ça m'a rendu froide et intolérante ... je ne peux pas te présenter à lui comme si j'étais ce genre de femme qui avait l'esprit ouvert alors que je ne le suis pas. Je ne peux pas accepter ça, tu es si jeune."
"Et bien dans ce cas, je suis réalisateur et j'ai 29 ans. " proposa-t-il complètement amusé car il savait qu'elle le voulait.
"Ne plaisante pas!" cracha-t-elle énervée contre lui, contre elle.
"Tu fais des drames là ou il n'y a que du plaisir, ton fils finira par s'habituer."
"Il ne doit jamais savoir!" déclara-t-elle et cette fois il su que ce n'était pas négociable.
Sauf qu'elle venait de donner un accord tacite sans même s'en rendre compte....
...
"Nan nan et beurgh caca, ce truc doit être couvert de sperme pourri! Votre sperme partout et je ne veux pas renifler ça!" s'exclama Alizée avec une belle grimace destiné au lit " on prend le gonflable."
Bill sourit de toutes ses dents avant d'éclater de rires devant la tête ahurie de son petit ami. Ils avaient terminé de diner et de tout ranger, puis demain ils se levaient tôt, à 7 heures pétantes exactement et il n'y avait qu'une salle de bain.... Tom passa derrière lui et en profita pour lui distribuer une tape sonore et percutante sur son fessier ce qui le déséquilibra un peu.
"Ho!"
"Petite diva manipulatrice." Souffla Tom connaissant trop bien Bill qui avait du caser quelques phrases bien crades à sa cousine pour obtenir ce résultat.
Bill le fixa étonné, Tom le connaissait si bien, même ce qu'il croyait lui cacher, non.. rien à faire. Avec Tom, rien de secret ne résistait et même s'il devrait en avoir peur ou en être fâché, le contraire se produisait en lui, ça le rassurait. Et Tom lu en lui. Lu toute cette confiance et quelque chose passa dans leurs yeux, faisant taire les deux filles qui sentirent cette énergie spéciale qu'ils dégageaient. Bill se raccrocha à un des bras de son petit ami pour ne pas complètement perdre la réalité des yeux...
L'escalier grinça et leur échange visuel fut brisé, les ramenant sur terre un peu étourdis. Simone apparut au bout. Bill la reconnut et s'activa dans sa direction.
"Fais attention maman!"
"Ca va, je ne suis pas si vieille!, ses yeux découvrirent l'endroit où son fils avait séjourné et l'installation de tout le monde, rassure moi chéri: tu laisses le lit à ta cousine?"
"Euh.. on lui a proposé mais elle en veut pas."
Simone haussa les épaules ne se doutant pas une seconde qu'il avait menti pour son propre confort. Car les draps avaient été changés avant leur arrivée par Grundel.
"Tu accorderais une promenade nocturne à ta mère, j'aimerais que tu me présente Piggette." Se moqua-t-elle gentiment.
"Okay okay... Tommy on revient dans une petite heure. Mais arrête de rire.. elle a pas une vie facile en ce moment la pauvre!"
"C'est ce qu'on appelle une vie de cochon!" se moqua Chanel et tout le monde rit de bon cœur sauf Bill qui boudait.
"Même pas drôle!"
Tom avec un grand sourire alors que son ange se préparait à descendre:" Oh.. bébé ... tu nous ramèneras du boudin?"
Et ce fut encore pire.
L'androgyne grogna de mécontentement mais Tom se glissa au sol et l'embrassa en surface avant de le laisser disparaitre. Simone le suivit toujours d'excellente humeur, elle aimait que Tom ne soit pas en extase devant son fils comme les autres qui s'aplatissaient toujours. Le peu qu'elle avait pu connaitre en tout cas, tous morts de peur à cause d'un mot ou d'un geste déplacé...
Tom se tourna vers les demoiselles avec un sourire à tomber, Chanel se mordit la lèvre, le déshabillant sans complexe: il portait un jogging noir tout simple et léger, si léger qu'il dessinait parfaitement la moindre courbe et son haut, un marcel tout aussi noir et..
"Putain de canon!" s'exclama Chanel en chaleur un peu trop fort.
Tom sourit tandis qu'Alizée lui fit les gros yeux, mais le dreadé n'arrangeait rien avec ce genre de tenues. Ses dreads étaient attachées en désordre avec un bandeau noir et son rire sexy donna encore plus chaud à Chanel qui se raccrocha à son amie. Elle ferma les yeux et souffla, Tom lui faisait un tel effet. Un putain d'effet.
"Dire qu'il t'a embrassé, je suis trop jalouse!" pleurnicha la jeune fille réellement mouillée par une telle vision.
"Je peux.., commença le blond en s'approchant, il laissa les mots trainés doucement dans l'air tandis que Chanel rêvait de le manger, t'offrir un câlin."
Il ouvrit ses bras où elle se jeta comme une camée en manque. Elle cala sa tête sur son torse et huma son odeur, sentit tout ses muscles bien formés en contact avec son propre corps, une dread caressa son épaule, et ses bras autour de sa taille..
"Oh mon Dieu... je veux te cloner."
"T'es juste attirée par moi, rien d'autre...rien à voir avec le véritable amour okay?"
"Encore juste un peu." Insista Chanel en le serrant fort.
Tom sourit gentiment avant de la relâcher après deux minutes. Elle se remit de l'étreinte difficilement son sourire mangeait ses oreilles. Elle s'éloigna en secouant sa tête histoire de se contrôler, ce mec était chaud, si chaud.
"Tu veux dire que c'est pire que ça, quand Bill est là, c'est pire que moi là tout de suite?"
"1 milliard de fois pire."
...
Bill avait enfilé un gros sweat de Tom abandonné sur un porte manteau dans l'entrée, Simone sourit, son fils était si attendrissant avec cette capuche immense qui cachait la moitié de son visage et son nez qui respirait le tissu pour profiter de son odeur.
Ils sortirent et furent chanceux que le petit chemin de terre soit praticable grâce au temps sec de ces derniers jours.
"Ton père m'a appelé, il sait que tu reviens demain. "
"Oh.. mais comment il a eu ton numéro, tu lui as pas donné quand même?" l'interrogea Bill.
Il voulait à tout prix garder le contrôle sur les interventions de Dago dans sa vie.. il donna un coup de pied rageur dans un caillou innocent, le ciel était clair si ce soir.
"Bill, ton père est journaliste et a énormément de contacts, tu ne le connais pas. Quand il veut quelque chose, il n'abandonne jamais, il est si obstiné et je refuse que tu en fasses les frais."
"Maman.. je ne veux pas que tu t'inquiètes, je veux dire j'ai envie de le rencontrer mais ce n'est pas parce qu'il est mon père qu'il doit se croire tout permis: il n'est qu'un inconnu pour moi, un lâche qui n'est jamais revenu assumer ses conneries alors qu'il insiste trop comme tu dis et je te jure qu'il va comprendre pourquoi je suis bien son fils!"
Simone sourit, le même feu brûlait en eux, elle admira Bill si grand, si plein d'assurance, si fort. Elle l'avait toujours admiré.
"Reste sur tes gardes, Dago a l'habitude de gérer des situations, de gérer n'importe quelle situation, je ne l'ai jamais vu avoir peur de quoi que ce soit ou reculer même face à des hommes armés.. je suis tombé amoureuse de lui parce qu'il semblait pouvoir conquérir le monde entier. Et tu es un peu comme lui."
"Tu l'aimes toujours n'est ce pas?"
"Je crois que je ne pourrais jamais l'oublier mais j'ai Gabriel à présent et il est l'avenir."
"Il voudra te récupérer, ce genre d'hommes veulent toujours tout récupérer et.. même si tu ne le veux pas, si tu l'aimes toujours tu gâcheras tout avec Gab', parce qu'ils repèrent tes points faibles et en profitent. Alors ne le laisse jamais plus entrer dans ta vie maman, ne le laisse pas faire. Change de numéro."
Simone fixa son fils, leva la capuche qui dissimulait une partie de son visage pour affronter son regard, un regard plein d'un quelque chose qu'elle ne comprenait pas, il lui fit un petit sourire triste qui agit comme une traduction instantanée.
"Oh Bill..."
Elle le serra contre elle, le berça comme s'il était encore un enfant innocent, et à ses yeux il l'était, si jeune, si abimé par les autres. Il profita du câlin, sa mère avait toujours été présente pour lui même quand il avait déconné à plein tube, elle ne l'avait jamais laissé tomber.
"Mais Tom m'a sauvé."
Elle saisit son visage angélique entre ses mains, et observa ses yeux brillants.
"Je ne laisserais pas Dago te faire souffrir maman, je sais ce que ça donne et je le laisserais pas faire."
"Alors je ne le laisserais pas faire non plus." Lui promit-elle avant de le reprendre dans ses bras.
C'était à elle de le protéger, à elle de veiller sur lui, il était encore si jeune, si jeune et il lui semblait que son fils avait vécu dix vies.
...
Ils gagnèrent la porcherie rapidement grâce à de grosses bottes en caoutchouc prévues pour ce terrain. Tout était calme en apparence, Bill attrapa la main de Simone dans la sienne et l'entraina dans l'allée principale, jusqu'au fond, et devant l'un des box il s'agenouilla et écarquilla les yeux.
"Oh mon Dieu.. mammmmaaaannnnn !!!!" cria-t-il devant le spectacle devant lui.
Piggette était allongée sur la paille et un porcelet sortait de son utérus alors qu'un autre venant tout juste de naitre bougeait non loin d'eux. La truie poussait des cris et semblait souffrir et Bill se figea de stupeur. Il voulait tellement l'aider.
"Maman.. il faut.. Grundel, tu veux bien aller chercher Grundel et moi je reste là juste pour surveiller." Souffla Bill en s'accroupissant devant le box.
"Ne la stresse pas d'accord, laisse faire la nature chéri mais je vais ramener Grundel."
"Oui oui je bouge pas de là, je me contente de lui envoyer des ondes positives." La rassura le brun alors que le deuxième porcelet sortait totalement sous ses yeux inquiets.
Simone quitta la porcherie au pas de course tandis que Bill resserra ses bras autour de sa poitrine, il n'avait pas vraiment froid mais ça le stressait, l'impuissance le stressait mais sa mère avait raison, Grundel lui avait expliqué que le moindre stress serait mauvais et qu'il valait mieux laisser faire les choses naturellement. Alors Bill souffla, et décida qu'une chanson douce ne pourrait que détendre la truie.
Sa voix emplie le hangar avec I'll be there de Michael Jackson.
...
"Ca ne peut pas être pire de l'état de cette folle avec Justin!" balança Chanel sans scrupule.
Alizée rougit des pieds à la tête en envoyant un regard de serial killeuse à sa meilleure amie qui venait de la trahir royalement. Tom observa les deux amies avec un petit sourire en coin.
"Han Justin!" se moqua-t-il avant d'éclater complètement de rires suivit par Chanel.
"Putain! Ca va se payer!"
Elle se jeta sur le lit et s'arma d'un oreiller que Tom évita alors qu'il riait toujours.
"Tu chantes si bieeen Justiiinnnn!" rajouta-il en imitant une voix de fille en rut et complètement hystérique.
Chanel tomba sur le lit, pliée de rires, incapable de s'arrêter alors qu'Alizée coursait le dreadé tant bien que mal.
"Je m'en fou! Justin est parfait en tout point!"
"Mais j'en doute pas.. c'est clair qu'en l'idéalisant il n'aura jamais de défaut." Balança Tom l'énervant encore plus.
"Ouais bah peut être que je le connais plus que tu ne le crois!"
Tom la fixa toujours un sourire moqueur accroché aux lèvres, prêt à repartir dans un fou rire furieux.
"Tu crois qu'avaler toutes les conneries dans la presse ou de connaitre ses chansons par cœur te permet de le connaitre ? "
"Je sais qu'il baise comme un Dieu!" lui balança-t-elle sérieusement en pleine face, il fallait qu'elle ai le dernier mot.
Elle ne supportait pas qu'on s'en prenne à son idole, qu'on le critique sans connaitre tout les efforts qu'il fournissait pour être le meilleur et satisfaire ses fans de toutes les façons possibles.
"JE baise comme un dieu et je ne le hurle pas sur les toits, mais quel vantard ce gars je le crois pas ça!"
Chanel derrière le dreadé faisait des grands signes à Alizée trop partie dans son énervement pour qu'elle cesse de se compromettre, elles allaient mourir ici si elle ne la fermait pas.
"Il ne l'a pas hurlé sur les toits! Le défendit-elle alors que Chanel passa son pouce sur son cou comme s'il s'agissait d'une lame de couteau, il m.."
Elle se stoppa enfin se rendant compte dans quel merdier elle allait se fourrer, Chanel se laissa retomber sur le matelas soulagée que son amie ai remis son système de défense en marche.. Tom la fixa intensément et ouvrit la bouche.
"Tu.. putain! Toi et lui!" Hurla-t-il dans une grimace de dégout
"Oh merde! Merde! Merde.. Dis rien à Bill, st'plait, s t'plait."
Et Grundel hurla son nom en bas, il comprit le mot truie et Bill et oublia tout le reste.
...
Grundel débarqua avec Tom et Simone, les filles décidant qu'un tel spectacle leur causerait trop de cauchemars, et tous se stoppèrent alors que Bill chantait de cette voix parfaite, Grundel sourit, ce gamin était carrément incroyable de chanter pour sa truie.
Tom se posa derrière lui, passant ses jambes de chaque coté des siennes et l'enlaçant. Sa tête se posa sur son épaule sans un mot. Si Bill restait ici, il resterait avec lui.
Trois porcelets étaient nés à présent, la mise à bas avait du commencer depuis une bonne demi heure et..
"Bill, tu sais que ca risque de durer deux bonnes heures encore?" lui expliqua Grundel sachant que le lendemain ils se levaient tous tôt et qu'il était déjà presque minuit.
"Je sais mais je veux pas la laisser seule."
Grundel hocha la tête, puis vérifia que l'accouchement se passait normalement. Les porcelets étaient en bonne santé et box de Piggette suffisamment spacieux pour qu'elle puisse bouger à son aise.
"Je vais lui injecter un médicament pour qu'elle souffre moins."
La fermière s'éloigna un moment tandis que Simone observait tour à tour la truie et le couple enlacé devant la cage, Bill se remit à fredonner et Tom ferma les yeux, la voix de son ange le berçant agréablement
"Je vais aller dormir, le voyage m'a épuisé."
"Bonne nuit maman." s'écria Bill réclamant un bisou en tendant sa joue, elle se baissa et lui en offrit un, elle visa également la joue du dreadé à moitié endormi contre Bill.
"Bonne nuit Simone." Lui souhaita-t-il d'une voix somnolente sans ouvrir les yeux.
Elle les regarda une dernière fois, ils étaient si adorables, si collés, elle sourit alors que Bill laissa sa tête tomber en arrière contre celle de son petit ami et lui chuchota quelque chose qui réveilla le blond et leurs bouches se scellèrent à nouveau.
Grundel injecta le produit sous les yeux attentifs de l'androgyne, il serra les mains de Tom dans les siennes pour se rassurer, les sons qu'elle émettait étaient si différents de ceux dont il avait l'habitude. Tom le serra plus contre lui.
"Ne t'inquiète pas bébé, elle a déjà accouché une fois et sait que des gens veillent sur elle. Et le produit va l'aider."
"Ca doit être si douloureux.. je n'avais jamais pensé.. les femmes doivent souffrir horriblement, tu imagines ma mère, ta mère... "
"Mum, je sais pas avec la péridurale, je pense que c'est supportable."
"Han et leurs vagins doivent être complètement déformés après.. brghhhh, dire que je sors d'un vagin, c'est dégoutant!"
Tom rit dans son oreille, son ange avait des pensées saugrenues par moment.
"Tu t'en souviens même pas!"
"Bah encore heureux putain, t'imagines le cauchemar sinon!"
"T'es dingue." conclut Tom en l'embrassant dans le cou.
...
************
Oui oui je sais ....
alors?
Piggette accouche XDDDDD
et Alizée lol... je ne sais pas vraiment ce qui va lui arriver encore.
Dites moi tout ce que vous pensez sur Judith aussi
peut etre que le prochain sera aussi posté en secret, pensez y...
ps: j'accompagne ma noute à un concert de brutal dEath ce soir et je n sais pas si je reviendrais vivante de là bas.....
si vous n'avez pas de nouvelles c'est que l'auteur n'aura pas survécu.
l'amour vous fait faire n'importe quoi....
Nadège
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Elisa
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