ATTRACTION CHAPITRE 022
Note utilisateur: 5 / 5
Comme vous avez été trèèèèèès sages et pis que j'ai plein de Chapitres d'avance et ben voilà DEJA la suite.
Oui oui Mesdames et Messieurs!
Profitez en, je suis d'humeur généreuse :)
Voilà ce qui se passe quand j'ai plein de gentils comms:))))
Je suis gentille aussi avec vous.
A Delphine : Pauvre Steph! Oui!
C'est vrai que je les fais souffrir mes pauvres persosmais bon y'a rien de très méchant hein ;)
A Flo: Scuse de t'avoir prise pour une perverse, j'avaispas compris. Mais tout viendra en temps voulu :)
TRES BONNE LECTURE
BIENVENUE
Oui oui Mesdames et Messieurs!
Profitez en, je suis d'humeur généreuse :)
Voilà ce qui se passe quand j'ai plein de gentils comms:))))
Je suis gentille aussi avec vous.
A Delphine : Pauvre Steph! Oui!
C'est vrai que je les fais souffrir mes pauvres persosmais bon y'a rien de très méchant hein ;)
A Flo: Scuse de t'avoir prise pour une perverse, j'avaispas compris. Mais tout viendra en temps voulu :)
TRES BONNE LECTURE
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Leurs yeux se plongèrent à nouveau dans ceux de cet autre qui à cette seconde était tout ce dont ils avaient besoin. Avec cet autre il se sentait être. Etre là et pas dans un quelconque endroit de cette foutue planète. Pas au bord d'une falaise à se demander à quoi ça rime. Non. Etre juste à sa place.
Pendant cette seconde, tout était clair, lucide, évident.
Bill était complètement noyé, absorbé, envouté par Tom. Sa main continuait de le caresser du bout des doigts tout doucement pour ne pas lui faire plus mal encore.
PDV Tom
" Bill, pourquoi je ressens ça avec toi? Pourquoi j'aime que ta main me touche? Pourquoi ça m'apaise autant? Pourquoi ça me fait plus d'effet que le baiser de cette fille? Est-ce que je... non! Non!"
Tom eu comme une révélation brutale de cette chose non identifiée qui lui foutait la trouille et qu'il fuyait de toutes ses forces depuis son arrivée.
Il ne pourrait pas.
Il ne voulait pas.
Il repoussa doucement cette main qui pansait son cœur et sa douleur. A contre cœur.
Il baissa les yeux n'osant même plus affronter l'androgyne et en particulier son regard.
Bill, plus triste que jamais, n'y comprit plus rien. Comme si sa petite bulle venait de se fissurer.
Bill:" Viens, la trousse à pharmacie est dans ma salle de bain."
Tom l'avait blessé mais Bill n'en montra rien. Tom qui ne le regardait même plus.
PDV Bill
" Tom, qu'est ce qui se passe encore?"
Bill n'insista pas, ne demanda rien. Etre rejeté par Tom. Tout mais pas ça. Une fois lui suffisait. Une fois, c'était déjà de trop.
Il se déplaçait perdu dans ses pensées cherchant une explication rationnelle à ce comportement.
PDV Bill
" Peut-être que je lui ai fais mal? Pourtant j'l'ai à peine effleuré!"
Bill soupira.
PDV Bill
" J'suis con! Il a du se souvenir qu'il était hétéro!"
Bill secoua un peu sa tête pour chasser cette mauvaise pensée. Il était quelque peu abattu par tous ces événements.
Pourquoi on nous demande pas notre avis, hein? Oui! Aujourd'hui je peux pas me faire casser la gueule parce que le vol de ma voiture est prévue à 15H30. Demain non plus car je vais apprendre qu'en fait ma femme est lesbienne et qu'elle sort avec ma sœur! Pourquoi on pourrait pas étaler les malheurs? C'est vrai non? Histoire de se remettre un peu avant qu'un autre désastre sacage notre vie!
Mais ça ne fonctionne pas comme ça. La vie nous prends et nous inflige au hasard du temps tourments et bonheurs.
Le destin.
Ce destin imprévisible et incontrôlable.
Bill n'avait pas eu trop à se plaindre jusqu'à présent. Celui qui tirait les ficelles de tout ça avait été plutôt généreux avec lui de ce côté-là.
Même s'il n'a jamais connu son père qui ne lui manque d'ailleurs pas. Il représente absolument tout pour sa mère et ça lui convenait parfaitement ainsi.
D'accord parfois il n'avait pas eu les moyens de manger de la viande tout les jours et alors? Maintenant il vivait dans un luxe démesuré, tout aussi provocant que lui.
Sa vie lui ressemblait totalement à présent. Elle était presque parfaite, presque comme il en rêvait. Presque. Dans son rêve, dans sa vie idéale, Tom était fou amoureux de lui. Tom n'aurait pas repoussé sa main.
Arrivés à l'étage ils se dirigèrent dans la salle de bain privée de Bill. Tom pénétra dans la chambre du brun un peu intimidé.
Il n'avait toujours pas prononcé un mot, ni relevé les yeux. Il avait ressenti la peine qu'il lui avait causé et se maudissait d'avoir eu ce geste de... qui était tout le contraire de ce qu'il désirait.
Il aimerait dire quelque chose, s'excuser ? Mais de quoi ?
La salle de bain se trouvait sur la droite et à quelques détails ressemblait comme un jumelle à la sienne.
Il y avait des tas de produits de maquillage éparpillés sur un petit meuble: eye liner, rouge à lèvres, gloss, mascara, crayons en tout genre cohabitaient dans un désordre mesuré.
Toutes sortes de parfum de marque étaient alignés sur une étagère juste au dessus. Tom se demandait lequel il portait aujourd'hui car il aimait son odeur.
Bien sûr il ne lui demanda pas.
Toutes sortes de bagues, de colliers, de ceintures traînaient de ci de là laissant facilement deviner l'hésitation qui régnait dans cette pièce lors de l'habillage et de la touche finale à apporter un look qui se devait d'être mortel.
Tom souri légèrement imaginant cette scène.
Bill sortit du coton et du désinfectant ( de l'eau oxygénée qui ne pique pas).
Il s'installa sur un tabouret près du lavabo. La tête penchée, le jambes serrées. Sa langue qui passe sur ses lèvres.
Et Tom qui osa doucement un peu profiter de la vue sans que l'androgyne ne s'en rende compte.
Tom qui prit le second tabouret non loin du brun qui de ses doigts agiles humectèrent avec précision un petit bout de ce coton préalablement déchiré avec délicatesse.
Il releva son doux visage et sa main l'apposa avec une infinie douceur sur la blessure du dreadé. Tom frissonna à ce contact comme s'il venait de mettre les doigts dans une prise électrique mais ne broncha pas. Et l'androgyne commença à nettoyer sa lèvre ensanglantée très très délicatement.
Tom aimait ça. Que Bill s'occupe de lui.
Bien sûr il aurait pu se débrouiller tout seul mais il n'en avait vraiment pas envie.
Il ferma les yeux et se détendit sous ces petites attentions qui le touchaient bien plus qu'il ne voulait se l'avouer.
Bill souri en voyant le dreadé soumis à ses petits soins. Finalement, il ne détestait pas ça.
Tom:" Merci."
Bill:" Tccchtt! Bouge pas, j'ai pas fini."
Tom se sentit un peu mal et rougit légèrement: "Désolé."
Bill ri doucement:" T'es têtu hein?"
Tom souri à son tour:" Assez ouais."
Ils souriaient tout les deux à présent comme si le fil qui les reliait avait été réparé.
Leurs visages étaient proches.
Mais Bill avait fini de soigner cet être qu'il aimerait appeler mon amour. Si proches que chacun pouvait sentir le souffle de l'autre.
L'androgyne se sentait défaillir. A nouveau.
Cette sensation, cette tentation.
Il était comme aimanté par une force contre laquelle il ne pouvait lutter. Il en avait besoin, si besoin, trop besoin. Il s'avança et combla ces quelques centimètres qui le séparait des lèvres de Tom.
Ses lèvres qui avait une promesse de paradis.
PDV Bill
" J'en ai trop envie."
PDV Tom
" Bill, Non! Pas ça!"
Le brun effleura les lèvres du dreadé tendrement. Il ne voulait pas le brusquer ou pire le dégoûter.
PDV Tom
" Ses lèvres sont si, si .... Tentantes. Approche! Encore un petit effort! Bill!"
Mais Bill resta là à profiter de ce doux et léger contact. Il avait peur et aimerait tant que Tom fasse le deuxième pas.
Tom qui hésitait entre mettre fin à cette sublime torture que lui infligeait l'androgyne ou la prolonger un peu plus.
PDV Tom
" Bill... j'en peux plus!"
A bout de désir, il fit ce deuxième pas tant attendu par les deux partis. Il posa ses lèvres encore endolories sur celle de l'autre. Cet autre qui l'aimait comme un dingue.
Tout son corps frissonna. Un gémissement à peine audible s'étouffa.
Ce goût, cette saveur, cette douceur ...
Cette intensité.
Cette tempête qui dévorait Bill depuis quelques temps semblait enfin s'apaiser.
Il avait juste besoin de lui.
Besoin de son corps contre le sien.
PDV Bill
" C'est trop bon!"
PDV Tom
" Mum.."
Pendant cette seconde, tout était clair, lucide, évident.
Bill était complètement noyé, absorbé, envouté par Tom. Sa main continuait de le caresser du bout des doigts tout doucement pour ne pas lui faire plus mal encore.
PDV Tom
" Bill, pourquoi je ressens ça avec toi? Pourquoi j'aime que ta main me touche? Pourquoi ça m'apaise autant? Pourquoi ça me fait plus d'effet que le baiser de cette fille? Est-ce que je... non! Non!"
Tom eu comme une révélation brutale de cette chose non identifiée qui lui foutait la trouille et qu'il fuyait de toutes ses forces depuis son arrivée.
Il ne pourrait pas.
Il ne voulait pas.
Il repoussa doucement cette main qui pansait son cœur et sa douleur. A contre cœur.
Il baissa les yeux n'osant même plus affronter l'androgyne et en particulier son regard.
Bill, plus triste que jamais, n'y comprit plus rien. Comme si sa petite bulle venait de se fissurer.
Bill:" Viens, la trousse à pharmacie est dans ma salle de bain."
Tom l'avait blessé mais Bill n'en montra rien. Tom qui ne le regardait même plus.
PDV Bill
" Tom, qu'est ce qui se passe encore?"
Bill n'insista pas, ne demanda rien. Etre rejeté par Tom. Tout mais pas ça. Une fois lui suffisait. Une fois, c'était déjà de trop.
Il se déplaçait perdu dans ses pensées cherchant une explication rationnelle à ce comportement.
PDV Bill
" Peut-être que je lui ai fais mal? Pourtant j'l'ai à peine effleuré!"
Bill soupira.
PDV Bill
" J'suis con! Il a du se souvenir qu'il était hétéro!"
Bill secoua un peu sa tête pour chasser cette mauvaise pensée. Il était quelque peu abattu par tous ces événements.
Pourquoi on nous demande pas notre avis, hein? Oui! Aujourd'hui je peux pas me faire casser la gueule parce que le vol de ma voiture est prévue à 15H30. Demain non plus car je vais apprendre qu'en fait ma femme est lesbienne et qu'elle sort avec ma sœur! Pourquoi on pourrait pas étaler les malheurs? C'est vrai non? Histoire de se remettre un peu avant qu'un autre désastre sacage notre vie!
Mais ça ne fonctionne pas comme ça. La vie nous prends et nous inflige au hasard du temps tourments et bonheurs.
Le destin.
Ce destin imprévisible et incontrôlable.
Bill n'avait pas eu trop à se plaindre jusqu'à présent. Celui qui tirait les ficelles de tout ça avait été plutôt généreux avec lui de ce côté-là.
Même s'il n'a jamais connu son père qui ne lui manque d'ailleurs pas. Il représente absolument tout pour sa mère et ça lui convenait parfaitement ainsi.
D'accord parfois il n'avait pas eu les moyens de manger de la viande tout les jours et alors? Maintenant il vivait dans un luxe démesuré, tout aussi provocant que lui.
Sa vie lui ressemblait totalement à présent. Elle était presque parfaite, presque comme il en rêvait. Presque. Dans son rêve, dans sa vie idéale, Tom était fou amoureux de lui. Tom n'aurait pas repoussé sa main.
Arrivés à l'étage ils se dirigèrent dans la salle de bain privée de Bill. Tom pénétra dans la chambre du brun un peu intimidé.
Il n'avait toujours pas prononcé un mot, ni relevé les yeux. Il avait ressenti la peine qu'il lui avait causé et se maudissait d'avoir eu ce geste de... qui était tout le contraire de ce qu'il désirait.
Il aimerait dire quelque chose, s'excuser ? Mais de quoi ?
La salle de bain se trouvait sur la droite et à quelques détails ressemblait comme un jumelle à la sienne.
Il y avait des tas de produits de maquillage éparpillés sur un petit meuble: eye liner, rouge à lèvres, gloss, mascara, crayons en tout genre cohabitaient dans un désordre mesuré.
Toutes sortes de parfum de marque étaient alignés sur une étagère juste au dessus. Tom se demandait lequel il portait aujourd'hui car il aimait son odeur.
Bien sûr il ne lui demanda pas.
Toutes sortes de bagues, de colliers, de ceintures traînaient de ci de là laissant facilement deviner l'hésitation qui régnait dans cette pièce lors de l'habillage et de la touche finale à apporter un look qui se devait d'être mortel.
Tom souri légèrement imaginant cette scène.
Bill sortit du coton et du désinfectant ( de l'eau oxygénée qui ne pique pas).
Il s'installa sur un tabouret près du lavabo. La tête penchée, le jambes serrées. Sa langue qui passe sur ses lèvres.
Et Tom qui osa doucement un peu profiter de la vue sans que l'androgyne ne s'en rende compte.
Tom qui prit le second tabouret non loin du brun qui de ses doigts agiles humectèrent avec précision un petit bout de ce coton préalablement déchiré avec délicatesse.
Il releva son doux visage et sa main l'apposa avec une infinie douceur sur la blessure du dreadé. Tom frissonna à ce contact comme s'il venait de mettre les doigts dans une prise électrique mais ne broncha pas. Et l'androgyne commença à nettoyer sa lèvre ensanglantée très très délicatement.
Tom aimait ça. Que Bill s'occupe de lui.
Bien sûr il aurait pu se débrouiller tout seul mais il n'en avait vraiment pas envie.
Il ferma les yeux et se détendit sous ces petites attentions qui le touchaient bien plus qu'il ne voulait se l'avouer.
Bill souri en voyant le dreadé soumis à ses petits soins. Finalement, il ne détestait pas ça.
Tom:" Merci."
Bill:" Tccchtt! Bouge pas, j'ai pas fini."
Tom se sentit un peu mal et rougit légèrement: "Désolé."
Bill ri doucement:" T'es têtu hein?"
Tom souri à son tour:" Assez ouais."
Ils souriaient tout les deux à présent comme si le fil qui les reliait avait été réparé.
Leurs visages étaient proches.
Mais Bill avait fini de soigner cet être qu'il aimerait appeler mon amour. Si proches que chacun pouvait sentir le souffle de l'autre.
L'androgyne se sentait défaillir. A nouveau.
Cette sensation, cette tentation.
Il était comme aimanté par une force contre laquelle il ne pouvait lutter. Il en avait besoin, si besoin, trop besoin. Il s'avança et combla ces quelques centimètres qui le séparait des lèvres de Tom.
Ses lèvres qui avait une promesse de paradis.
PDV Bill
" J'en ai trop envie."
PDV Tom
" Bill, Non! Pas ça!"
Le brun effleura les lèvres du dreadé tendrement. Il ne voulait pas le brusquer ou pire le dégoûter.
PDV Tom
" Ses lèvres sont si, si .... Tentantes. Approche! Encore un petit effort! Bill!"
Mais Bill resta là à profiter de ce doux et léger contact. Il avait peur et aimerait tant que Tom fasse le deuxième pas.
Tom qui hésitait entre mettre fin à cette sublime torture que lui infligeait l'androgyne ou la prolonger un peu plus.
PDV Tom
" Bill... j'en peux plus!"
A bout de désir, il fit ce deuxième pas tant attendu par les deux partis. Il posa ses lèvres encore endolories sur celle de l'autre. Cet autre qui l'aimait comme un dingue.
Tout son corps frissonna. Un gémissement à peine audible s'étouffa.
Ce goût, cette saveur, cette douceur ...
Cette intensité.
Cette tempête qui dévorait Bill depuis quelques temps semblait enfin s'apaiser.
Il avait juste besoin de lui.
Besoin de son corps contre le sien.
PDV Bill
" C'est trop bon!"
PDV Tom
" Mum.."
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A nanou: Tu peux toujours demander hein mais le comique c'est pas vraiment mon truc. Moi c'est lesentimental, le romantique tu vois.
Je pense pas qu'il y aura des scènes vraiment comiques.
Moi je suis au rayon Kawai.
Bizzz.
Merci pour ton comm :)
ET MERCI A TOUT LES AUTRES
EN PLUS J'AI DES NOUVEAUX LECTEURS
A nanou: Tu peux toujours demander hein mais le comique c'est pas vraiment mon truc. Moi c'est lesentimental, le romantique tu vois.
Je pense pas qu'il y aura des scènes vraiment comiques.
Moi je suis au rayon Kawai.
Bizzz.
Merci pour ton comm :)
ET MERCI A TOUT LES AUTRES
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BIENVENUE
