ATTRACTION CHAPITRE 042
Note utilisateur: 5 / 5
Vous avez de la chance, j'étais d'humeur apaisée. Grâce à une bonne nouvelle XD.
Bref. Vous avez la suite et y'a un petit lemon en plus.
Je vous gâte de trop. Je sais
Par contre c'est pas la peine de pleurer parce que je vous ai pas prévenus: là je suis trop crevée:
Je fais ça demain.
Mais si vous êtes là, hein ....
Et dans la liste: comme je fais ça à la chaîne vous serez quand même prévenus ....
JE VOUS REMERCIE ENCORE POUR TOUT VOS COMMS
JE VOUS SOUHAITE UNBE TRES BONNE LECTURE
Et profitez en bien car je pense pas poster un autre chapitre avant le week end prochain.
BSX
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Georg raccompagna Léa jusqu'à chez elle plus qu'heureux d'avoir passé ces moments avec elle. Elle habitait une petite maison fabriquée en vieilles pierres qui respiraient le sud. Petite maison accueillante et pleine de charme. Tout comme elle.
Elle marchait. Elle était tellement sensuelle au naturel. Elle marchait en souriant et en reniflant la rose qu'il lui avait offerte. Elle adorait toutes ces petites attentions. Elle adorait imaginer une vie où son futur homme la traiterait comme une princesse. Elle ne détestait pas l'idée que ça puisse être Georg.
Ils passèrent le portail et se retouvèrent sous le porche. Ils ne se disaient pas grand-chose mais ce silence était aussi léger que l'air. Des sourires échangés. Des regards plein de chaleur. Ils étaient tout simplement bien.
Georg:" Te voilà arrivée à bon port damoiselle."
Léa:" Oui et en vie en plus!"
Georg:" Il faut dire que je suis un super garde du corps, tu sais?"
Elle ri. C'était pas spécialement drôle c'était juste cette façon qu'il avait eu de se redresser, cette façon de bomber un peu le torse qui était tordante.
Léa:" Merci pour cette soirée. J'ai adoré."
Georg rougit un peu:" Merci à toi d'avoir accepté. Ca m'a fait vraiment plaisir."
Des sourires. Qui ne fânent pas. Et Georg qui cachait sa gêne avec ses cheveux.
PDV Georg
" Si j'étais pas si timide, je l'embrasserais. J'ai trop peur de la faire fuir ou pire : qu'elle me repousse. C'est trop tôt. Ou pas? Qu'est ce que je peux espérer? Bill, lui a pas hésité une seconde à se coller à son calamar. Dès le départ, il... et sans rien dire! Moi j'peux pas. J'suis pas comme ça."
PDV Léa
" Il est trop mignon là comme ça, il est tout timide le pauvre. Je craque."
Et comme dans le plus merveilleux de ses rêves, elle approcha doucement son joli minois du sien plus carré et posa délicatement ses lèvres brillantes sur celles plus épaisses de son p'tit Georg qui ferma les yeux pour profiter de ces sensations à fond. Pour ne pas oublier. Ctte douceur. Ce goût.
Il était juste amoureux. D'elle.
PDV Georg
" Waaaah... c'est tout doux, ça sent bon. Léa... mummmm."
PDV Léa
" C'est super agréable. J'aime ça... je crois que le referais."
Georg la laissait mener la danse, se laissa emporter par ses envies. Par elle.Trop heureux de ce bonus trop bon. Offert par elle. Elle. Qu'il adorait. Qui sentait bon. Qu'il ne se lassait pas d'admirer. Elle. Qui était tout pour lui. Elle et encore elle. Qui le rendait heureux. Elle. Qui était sa vie, ses rêves, ses projets. Elle. Sur qui il misait tout.
Elle se détacha tout aussi délicatement, les yeux brillants d'un quelque chose de différent. Il avait encore les siens fermés comme pour prolonger ce moment de pur bonheur. Ce qui lui valut une douce caresse sur la joue. Sa main à elle qui passait sur son visage à lui. Trop. Trop. Trop. De bonheur.
Il finit par émerger, rouvrir ses yeux. Il ne vit qu'elle. Souriante. Ses yeux verts éclatants plus que des soleils. Elle était là. Elle le regardait. Lui. Elle souriait. Un sourire. D'elle. Pour lui.
Léa d'une voix mi-sérieuse, mi-joueuse:" Faudra qu'on remette ça."
Georg s'envolant loin:" Quand tu veux. Tu.. tu m'appelles et je viendrais."
Elle ri. Elle était encore plus belle, plus elle. Plus tout. Plus le temps passait, plus elle le trouvait touchant.
Léa:" D'accord. Promis je t'appelle."
Georg:" Bonne nuit Léa."
Léa:" Bonne nuit mon p'tit Georg."
[....]
Emma et Stéph avaient atteries dans un petit café situé sur la promenade assez bien fréquenté et pas trop cher. Les gens y étaient plutôt de bonne humeur. La plupart était étrangers. Et profitaient du beau temps sur la terasse. Elles avaient une vue sur la mer, et ce soleil flamboyant qui disparaissait peu à peu. Elles sirotaient des cocas avec plein de glaçons et une paille jaune fluo.
La table était si minuscule que leur jambes se croisaient, se frôlaient souvent. Et bien sûr qu'Emma en profitait plus que beaucoup.
Emma:" Dis, Virginie et toi, vous êtes amies?"
Stéph était à mille lieues de comprendre la question et tout les sous entendus. Tout ce que ça impliquait. Non, Stéph ne captait vraiment rien. Elle fronça les sourcils puis paru réfléchir.
Stéph:" Je la comprends plus. Elle, on dirait qu'elle supporte pas que j'ai une vie sans elle. C'est vrai on faisait quasimment tout ensemble parce qu' à l'époque c'était la seule à me comprendre. Mais maintenant j'ai envie de, de voir d'autres gens mais c'est pas pour ça que je l'aime moins. Pourtant on dirait qu'elle supporte pas ça: que j'ai d'autres amis et c'est pire avec les mecs!"
Stéph reprit son souffle, sirota un peu de son coca:" Elle est super possessive. Je pense qu'elle a peur. Mais je peux rien lui dire. On n'arrive même plus à se parler alors... Je me demande pourquoi elle réagit comme ça ?"
Emma:" Elle tient peut-être à toi plus que tu ne l'imagines."
Elle avait sorti ça comme une évidence. En sachant très bien. L'impact que ça pouvait avoir. Virginie. Elle s'en foutait. Juste Stéph. Elle la voulait. A n'importe quel prix.
Stéph étonnée, l'interrogeait du regard et y joignit la parole:" Pourquoi tu dis ça comme ça ? T'es au courant de quoi au juste?"
Emma posa ses coudes sur la table de part et d'autre de son verre presque vide. Elle rejoignit ses mains et posa son menton dessus. Elle détaillait le visage de Stéph un peu ovale. Une peau impeccable. Un visage qui inspirait la droiture et l'honnêteté.
Ses cheveux mi-courts lui donnaient un air de sauvageonne. Un peu rebelle.
Elle n'avait vraiment rien à envier à ces playmates.
Emma un petit sourire en coin:" Tu sais que Virginie est lesbienne?"
Stéph:" Oui. Elle s'en cache pas. Et moi ça me pose aucun problème. Mais je vois pas vraiment le rapport avec moi.
Emma souri. Un p'tit sourire qui ne présageait pas de bonnes choses.
PDV Emma
" Nous y voilà Virginie. Le duel va enfin commencer... hé hé! Fallait foncer tant que tu l'avais que pour toi. Maintenant c'est la guerre. Et tout les coups sont permis à ce jeu là."
Emma se recula et finit son verre en la fixant:" T'es sûr? Tu vois vraiment pas?"
Steph commençait à s'inquiéter. C'est sûr. Ca n'allait certainement pas lui plaire. Mais en même temps elle méritait une explication à ce comportement agressif. Ce comportement qui la déçevait de plus en plus. Ce comportement qui abîmait leur amitié au risque de la perdre.
Elle méritait la vérité qu'elle n'avait pas été fichue de lui avouer. La vérité.
Stéph:" Non. Je vois pas. Alors si tu sais quelque chose, dis le moi. Je crois que j'ai le droit de savoir."
Emma jouissait intérieurement. Virginie allait être balayée en quelques mots et Stéph serait tout à elle. C'en était presque trop facile.
Elle passa sa langue sur sa lèvre supérieure avec une petite lueur de victoire dans le regard. Prête à lâcher la bombe.
[....]
Ils n'avaient pas pensé à fermer les volets électriques avec tous les événements de la veille. Ils dormaient à poings fermés. Comme des bébés. Leurs corps dénudés, leurs jambes entrelacées. Sa tignasse étalée sur le torse de son amant. Sa tête posée sur sa poitrine.
Ses doigts aux ongles parfaitement manicurés qui s'aggripaient à ses dreads à moitié déroulées. Comme avant à son Boubou. Ses cheveux en bataille mélangés à ces mêmes dreads chatouillèrent les narrines du blond qui émergea en douceur. Reconaissant son odeur. Et sa chaleur.
Un sourire.
PDV Tom
" Mum... j'ai trop bien dormi! Je sens que la journée va être super bonne. Bill... la vie, ma vie est trop belle. Il m'aime. Rien que d'y penser... non Tom! Tu vas pas chialer! J'ai du mal à réaliser tout ça! Tout est si différent ici. Avec lui. Tout ce bonheur parce qu'il est là. C'est clair. Je le quitte plus. Regardez-le! Il est trop mignon et il est à moi et rien qu'à moi!"
Ses yeux parcouraient son visage, ses bras. Et atterirent sur ses pauvres dreadlocks.
" AHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!! Quelle horreur! Va falloir que je les refasse une par une! Ca me prendre une plombe! Pffff !!! Ca m'apprendra à pas garder mon bandeau avec cette furie! "
Immense sourire.
" Merde! Quel pied! Quel orgasme! Un peu plus et je mourrais de plaisir sur place! Nan.. toi! Coucouche panier!"
FIN PDV
Tom s'ennuyant quelque peu se décida à réveiller son ange. Son tout. Et caressa le plus doucement du monde la cuisse de l'androgyne. Profitant de ce corps, de ces courbes, de ces formes qu'il voulait apprendre par cœur.
Mais le brun semblait bien installer dans son monde de rêve. Et ne réagit pas. Pas un frisson. Ce qui vexa un peu Tom.
PDV Tom
" D'accord! je vois, monsieur le Hérisson préfère ronfler plutôt que de m'accorder la moindre attention! C'est ce qu'on va voir! On va passer aux choses sérieuses dans ce cas."
Sa main dévia sa course et se dirigea sur l'entrejambe de l'androgyne. Doucement et avec tout l'amour que contenait son petit cœur il caressa doucement ses testicules puis remonta sur sa verge déjà à moitié dressée. Toujours avec amour. Toujours en faisant attention.
Bill:" Mumm."
Ses mains se refermèrent un peu plus sur les dreads auxquelles elles s'accrochaient déjà. Son corps frémit à ce contact.
Puis Tom souriant, continua ses caresses en insistant plus particulièrement sur cette zone des plus sensibles située sur le gland. Cette zone qui lui ferait trop de bien.
Bill ouvrit grand les yeux tirant plus fort sur les dreads:" HAN! TOM!"
PDV Bill
" Putain! S'il me réveille comme ça tout les matins, je crois que je vais me réveiller plusieurs fois par jours moi! Mein Gott! On croirait pas qu'il débute!"
Bill l'embrassa dans le cou en continuant de gémir des Han et des Tom tout près de son oreille. D'une voix super excitante.
Tom un peu joueur:" Toi quand tu dors, tu fais pas semblant. Regarde ce que je suis obligé de faire pour que t'ouvres tes beaux yeux."
Bill:" Han.. je te jure.. han Tom.. putain...que je me réveillerais plus que si tu me fais ça!"
Bill s'agrippait plus fort, mais lâcha les dreads pour s'accrocher à son corps. Ses mains parcourant son dos, enfonçant parfois ses ongles dans cette peau intacte. Puis les caresses cessèrent.
Bill un peu essouflé:" Non Tom! Pit..."
Tom posa ses lèvres sur celles de Bill pour étouffer ses plaintes, les lécha et entra mélanger sa salive avec celle du brun. Cette bouche dont il explorait chaque recoin. Un peu sauvagement. Et Bill qui ne cessait pas de remuer. Caressa sa langue. Caressa son piercing. Tom redescendit une de ses mains et reprit ses caresses.
Il recula un peu son visage et ne quittait pas Bill. Le matait en train de prendre son pied. Bill ouvrit les yeux et plongea dans ceux de Tom qui lui colla un autre baiser sur les lèvres. Une minute, une heure... ils ne savaient plus.
Bill griffa Tom dans le dos en se cambrant plus:" HAAAA !!!"
Et retomba sur le lit. Sa poitrine se soulevait rapidement. Et Tom qui l'embrassait un peu partout. En attendant que sa respiration revienne à la normale. Et s'essuya avec une serviette qui traînait.
Qui lui dit:" Je t'aime."
Et un sourire fabuleux apparu sur la bouille de son hérisson adoré. Hérisson qui lui arracha un baiser.
Qui lui répondit:" Moi aussi je t'aime. Tom.. et j'adore me réveiller avec toi. Surtout de cette façon."
Tom l'embrassait encore et encore. Il ne s'en lassait pas. Il était trop accroc. Puis la vue de ses dreads le ramena sur terre.
Bill caressa sa joue:" Qu'est ce qu'il y a ?"
Tom:" Avec toute cette agitation, mes dreads sont à refaire et c'est prise de tête."
Bill souriant:" Si tu veux, je le fais."
Tom s'étala sur l'androgyne et dégagea ses cheveux. Pour l'admirer encore. Spectacle indéfiniment merveilleux. Il observa son œuvre, celle d'hier. Le suçon n'était pas du tout discret.
PDV Tom
" Il va me tuer en voyant ça. J'ai trop absusé."
Bill observait chaque expression, chaque changement, il réunit les dreads en queue de cheval et les maintenait avec sa main.
Bill:" C'est si affreux que ça?"
Tom fut surpris:" Euhhh... c'est que..."
Tom était mal à l'aise, gêné et surtout il voulait pas le mettre en colère ou le contrarier. Hier, il se contôlait plus trop, et ne faisait pas vraiment attention. Dans le feu de l'action, il n'avait pas réalisé que ce suçon était énorme.
Bill se mit à rire devant ce Tom un peu gauche. Un peu, beaucoup craquant.
Bill:" Allez! Je vais voir le dégâts dans la salle de bain."
Il se leva du lit en tenant toujours la tignasse de celui qu'il adorait et se dirigea vers la petite pièce en tirant doucement sur les cheveux du blond qui ne riposta pas. Qui le suivit sans broncher. Trop heureux de tout ça.
PDV Tom
" Il va me tuer! Seigneur! Pitié! Sauvez-moi! On voit que ça sur son cou!"
Bill se posta devant la glace et posa un peu comme une star et vit le résultat. Tom osa à peine levé les yeux comme un petit garçon attendant de se faire gronder par sa maman. Mais Bill ne perdit pas son magnifique sourire. Il examinait son cou sous tous les angles.
Bill:" Tu m'as pas loupé hein?"
Tom rouge:" Pardon."
Bill ri à gorge déployée, lâcha les dreads qui retombèrent en désordre sur ses épaules et l'enlaça très fort:" J'ai rien à te pardonner. T'es merveilleux avec moi. Sans toi, je... "
Tom le serra à son tour:" Moi aussi je te trouve merveilleux. "
Dans les bras l'un de l'autre. Il n'y avait plus de peur. Plus de doutes. Juste cette energie qui vous tétanise de plaisir. Juste ce truc qui vous envahit et qui vous envoie une décharge d'amour concentré. Ce truc qui vous hurle : j'suis heureux. Ce truc qui fait que vous savez pourquoi vous êtes là.
Tom:"Alors ça te dérange pas?"
Bill toujours en souriant:" Nein. Ca prouve que je suis bien à toi! Et tu sais quoi?"
Tom:" Non."
Bill d'une voix toute câline:" J'adore être à toi."
Tom:" Me dis pas des trucs comme ça."
Bill taquin:" Pourquoi, han, Tom."
Il avait donné un petit coup de bassin frottant leurs virilités l'une contre l'autre. Et Tom qui gémit. Qui ne pouvait lui résister. Et Bill qui en jouait.
Tom:" Obsédé."
Bill d'une voix déconcertante de sincérité:" De toi. Juste de toi."
Tom souri, il était le plus heureux du monde. Il réalisait de plus en plus que Bill tenait vraiment à lui, qu'il se foutait pas de lui. Que Bill et lui c'était du solide. Peut-être pour la vie.
Tom:" Si on se douchait?"
Bill hoha la tête. Il trifouilla dans ses tiroirs et sortit des gros élastiques. Il vint vers Tom et lui attacha ses dreads avec agilité et elles tinrent parfaitement sur sa tête. Bill se rua dans la cabine et régla l'eau. Tom le rejoignit. Attrapa le gel douche et savonna le corps de l'androgyne. Profitant bien de ces moments. Qui n'appartenaient qu'à eux.
Puis il se souvint d'un truc.
Tom:" Bill?"
Bill:" Hum."
Tom:" Tu te souviens comment tu m'as appelé hier soir?"
Bill fronça les sourcils:" Je..je suis pas sûr, j'étais si fatigué. Je me souviens même pas m'être couché.. Atends, c'est toi qui m'as emmené au lit?"
Tom souri:" Oui."
Puis un peu déçu:" Alors tu te souviens pas?"
PDV Bill
" Allez, souviens toi... comment j'aurais pu l'appeler... y'a rien à faire! Je me rappelle pas."
Bill:" Désolé. Je sais juste que, il était un peu timide, que plusieurs fois je me suis retenu de pas dire Liebling, pour pas, enfin tu vois."
Tom avait retrouvé sa bonne humeur, il savonnait ses fesses en le fixant droit dans les yeux:" Bah moi ça me plaît bien."
Bill attrapa le gel et savonna le dreadé à son tour:" Je t'imaginais pas comme ça, sensible à ce genre de trucs un peu gnan gnan."
Tom:" Gnan Gnan?"
Bill:" Tu sais les trucs super romantiques."
Tom gémit quand Bill nettoya agilement son pénis qui se dressa d'un coup. Il ferma les yeux:" Han..., il se reprit, tout le contraire de ça!"
Bill l'embrassa et avec un regard un peu pervers lui lança:" Ca m'inquiéterait que tu bandes pas pour moi Liebling!"
[...]
Virginie fut réveillée par son téléphone Samsung avec un grand écran. Il sonnait et resonnait jouant la musique de Black Eyes Peas. La personne était une acharnée. Pour insister à ce point. A cette heure là. Un jour de week end.
D'une voix endormie:" Allo!"
L'autre:" Tu .. , des larmes, pourquoi tu m'as rien dit?"
Virginie fut subitement très bien réveillée:" Steph?"
Steph:" Oui. Je suis en bas de chez toi. Ouvre moi. Il faut absolument qu'on parle."
Et la petite brune raccrocha.
