MY FIRST TIMES CHAPITRE 16
La semaine suivante se passa ainsi, entre distance et attouchements. Juste quelques mots, quelques petits sourires. Quelque petits touchers subtils. Ca regonflait le cœur du dreadé et permettait à Bill de ne plus broyer du noir. Ils se rendaient en cours de français, et Andy soupira en surprenant Tom caresser gentiment le cou de Bill. Ca n'avait duré qu'une seconde, ils ne discutaient même pas, et le geste était plutôt discret mais voilà: il l'avait vu.
Il coinça Bill un peu plus loin des autres, cette prof n'était jamais à l'heure de toutes façons.
"Bill? C'était quoi ça?" l'interrogea Andy en répétant le même geste.
"Bah rien, enfin presque rien.. And', est ce que c'est si grave?"
"Billy, j'ai eu tort de vouloir à tout prix t'éloigner de Tom, s'il est prêt à attendre que tu lui pardonnes, je suppose qu'il n'est pas si mauvais, enfin je l'espère."
Bill soupira, car le problème était bien là: il était amoureux d'un garçon qui l'avait fait horriblement souffrir et il avait peur que ça recommence, que Tom le baise pour l'accrocher fièrement à son tableau de chasse …
"Je l'espère aussi. "
Apparemment son ami n'était pas si naïf, mais l'amour était le pire traitre qui soit, peu importait les conséquences, ça vous condamnait à foncer droit dans le mur, vous savez que vous courrez à la catastrophe mais vous ne pouvez pas freiner..
…
Le four sonna et Bill sautilla gaiement jusqu'à lui. Il en sortit sa pizza faite maison qui dégoulinait de fromage en tout genre, de jambon, de champignons, et pas en petites doses! L'odeur le fit saliver et son ventre gronda méchamment.
Nous étions samedi en début d'après midi, Bill avait achevé tout ses devoirs. Ses parents étaient absents tout le week end, Andy parti avec Aurélia dans ce super parc d'attraction et il était heureux pour eux. Donc il était tranquille, et il allait pouvoir décompresser et réfléchir, et pour être certain de ne pas s'ennuyer, il avait téléchargé quelques pornos gays. Les rideaux étaient tirés et le disque dur relié à la platine.
"Il faut bien que je m'informe hein Toundrah?" s'encouragea Bill hésitant maintenant à jeter un œil à ça.
Sa chienne s'allongea au pied du canapé le fixant avec ses yeux compréhensifs, Bill su qu'elle était d'accord avec lui. Il la caressa gentiment et lui donna un bout de sa pizza avant de s'installer confortablement. Puis les souvenirs passèrent en flash dans sa tête, Bill repensa à lui avec Tom, avec Tom se frottant contre lui et rougit. Il avala une bonne gorgée de coca, ouais..
Il avait besoin de ces films puisque Tom avait merdé! Il se saisit de la télécommande et appuya sur le bouton play en revérifiant que le son n'était pas trop fort, manquerait plus que quelqu'un puisse entendre…
…
Il somnolait depuis pas mal de temps, les voix masculines de l'écran meublant un sommeil agité. Ses paupières bougeaient et son pénis était plutôt dur et déformait son boxer. Il entendit un couinement, et plissa les yeux dans son rêve car Tom couinait bizarrement, puis encore, mais en plus aigu cette fois.
"Mum.."
Et puis un couinement plus fort et plus long qui ne ressemblait en rien à du plaisir s'échappa de son visage crispé par la douleur, comme un appel au secours? Il ouvrit les yeux un peu essoufflé et tomba sur sa chienne étalée au sol, il sourit, sourire qui s'effaça quand elle couina à nouveau comme une malheureuse.
"Toundrah, qu'est ce qui t'arrives ma belle?" s'inquiéta le brun en s'agenouillant au sol.
Il la caressa pour la calmer et la trouva chaude, si chaude.. trop chaude.
"Chutt.. Toundrah, Oh mon Dieu!" paniqua le brun en réalisant que sa chienne était trop chaude.
Il couru jusqu'à la cuisine remplissant un bol d'eau froide et attrapa une serviette, il revint vers sa chienne passant le linge humide partout sur elle en espérant faire baisser la température, les larmes lui montèrent aux yeux.
"Ca va aller, hein Toundrah, tu peux pas me laisser, pas toi! Tu peux pas me faire ça hein ma belle?"
Il téléphona au vétérinaire en ayant du mal à taper sur les bonnes touches à cause de sa nervosité mais sa secrétaire l'informa qu'il devait emporter l'animal sur place car on ne soignait pas à domicile. Il téléphona à tous ceux de la région qui lui expliquèrent la même chose. Bill avait envie de hurler, personne n'allait bouger ses fesses pour lui venir en aide!
Et plus le temps passait et plus Toundrah devenait brulante.
Bill craqua et éclata en sanglots. Il était seul et n'avait ni permis, ni voiture. Le médecin le plus proche se situait à 3 kilomètres et Toundrah était trop grosse pour qu'il puisse l'y emmener. Il sécha ses larmes et sonna chez le voisin, mais personne ne répondit. Il revint à la maison auprès de sa chienne qui agonisait à présent. Il devait faire quelque chose, peu importait sa fierté.
Il tenta un autre numéro.
"Tom, c'est Toundrah, elle est en train de mourir et je suis tout seul, je sais pas quoi faire, je peux pas l'emmener et , je...."
Ses sanglots devinrent trop forts et saccadés, sa chienne il l'aimait comme un membre de sa famille, il ne se remettrait pas de la perdre, pas maintenant quand tout foirait dans sa vie.
"Billy, je vais venir okay, reste en ligne."
Bill pleurait toujours et activa le haut parleur, il devina que Tom dévalait les escaliers comme un hippopotame, il débarqua comme un déjanté dans le salon où sa mère et Pammy regardaient une émission de téléréalité.
"M'amn il faut aller chez Bill tout de suite, sa chienne est malade et il est tout seul!" expliqua Tom en la tirant et prenant ses clés, son sac et son manteau.
"Oui, oui, voilà.. mes chaussures."
Pammy s'était levé et lui tendit ses baskets en toile. Carla les enfila rapidement alors que Tom avait déjà mis le contact avant de se décaler sur le siège passager.
"On arrive Billy, on va soigner Toundrah ne t'inquiète pas."
"Mais elle est si mal Tom." Articula difficilement le brun.
Le cœur du dreadé se brisa un peu plus, d'entendre pleurer Bill était la pire chose au monde. Tom indiquait la route à sa mère tout en essayant de rassurer le brun complètement apeuré. Le trajet fut court et rapide. Il se précipita hors du van une fois garé devant chez lui et ouvrit la porte coulissante sur le coté pour Toundrah.
"On est là Billy, ouvre!" cria Tom inquiet de l'état de l'androgyne.
La porte s'ouvrit sur le brun les yeux rougis, les cheveux dans tout les sens, dans un bas de jogging trop grand qui tombait sur ses hanches et un T-shirt trop petit à l'effigie de Mickey. Le cœur de Tom se retourna plusieurs fois dans son ventre. Il était incapable de quitter les yeux tristes de Bill, il avait juste envie de le serrer très fort contre lui et de le rassurer, de le protéger de tout les malheurs du monde jusqu'à ce que Toundrah couine horriblement faisant se raidir le brun.
"Je vais t'aider à la porter jusqu'au van." Proposa Tom d'une voix douce.
Bill hocha la tête et le laissa entrer dans le salon, Toundrah semblait chercher de la fraicheur sur les dalles de lino, des sons aigus à fendre l'âme résonnaient dans la pièce. Bill s'agenouilla au sol et la caressa pour la calmer, il tremblait, sa chienne n'avait jamais été malade au point de ne plus pouvoir se tenir sur ses pattes.
Ils la placèrent sur la banquette arrière et foncèrent chez la vétérinaire le plus proche. Bill chuchotait des paroles apaisantes à sa chienne en essayant de s'apaiser lui au passage mais ça ne fonctionnait pas. Ils se garèrent juste devant la porte et emmenèrent directement Toundrah dans le hall.
La secrétaire s'activa en voyant l'état de l'animal qui fut prit de suite en charge. On l'emmena dans le cabinet et tout le monde l'accompagna. Bill prit la main de Tom dans la sienne par réflexe, il avait besoin de soutien.
"Je vais m'occuper d'elle." Expliqua la jeune femme qui lui fit une piqure.
Toundrah s'endormit alors qu'une prise de sang fut effectuée. Bill répondit à toutes ces questions
"Il y a des virus qui trainent en ce moment alors je vais lui administrer un antibiotique et dès que j'ai les résultats de la prise de sang je pourrais la soigner correctement mais à cette heure ci les labos sont fermés. Je ferais analyser son sang en priorité à la première heure demain et je vais devoir la garder cette nuit, d'accord?"
Bill hocha la tête, la vétérinaire semblait savoir ce qu'elle faisait. Mais il avait peur que Toundrah ai quelque chose de grave, de mortel.
"Est-ce que... Est ce qu'elle va guérir?" demanda Bill d'une petite voix en écrasant la main de Tom dans la sienne.
"Je pense que oui mais il est trop tôt pour se prononcer. Sache que je vais rester avec elle cette nuit pour être sur que son état reste bien stable."
Bill hocha la tête, au moins Toundrah ne serait pas seule et ça le rassura. Il remercia la jeune femme qui aimait vraiment les animaux mais Tom revit Bill dévasté par les larmes alors qu'elle aurait pu juste venir et..
"Mais pourquoi vous ne venez pas en cas d'urgence?"
"Je suis seule ici, mais les pompiers peuvent emmener un animal jusqu'ici pour qu'on le soigne."
Bill n'avait juste pas pensé à appeler les hommes en rouge. La vétérinaire resta encore un peu avec Bill en le voyant si inquiet et puis il n'y avait pas foule à cette heure. Elle lui fit part d'un diagnostic provisoire rassurant alors que la chienne dormait et que sa température était revenue à la normale.
Bill repartit avec un petit sourire.
…
Toundrah se remettrait après du repos et les bons soins du vétérinaire et d'ailleurs Bill avait apprécié qu'elle explique tout ce qui allait se passer à sa chienne car ça l'avait calmé comme si elle avait deviné que cette personne allait la soigner. Bill avait le cœur plus léger et ne pleurait plus. Tom était à l'arrière avec lui, une main posée sur sa cuisse et des yeux attentifs qui ne le quittaient pas une seconde.
"Je suis certain qu'elle va vite se remettre, la vétérinaire est confiante et puis elle est jeune et en pleine forme, tu verras, demain quand nous irons la rechercher, elle pètera la forme et te désobéira."
Et Tom n'avait cessé de lui remonter le moral avec toutes sortes de phrases gentilles et réconfortantes et il devait bien admettre que depuis que le beau dreadé était apparu sur le pas de sa porte, il s'était senti soutenu et mieux. Tom aurait pu l'envoyer chier ou même refuser de décrocher mais il était là.
Bill allait mieux, mais quand la voiture se gara devant chez lui, son cœur se noua. Cette maison était vide et se connaissant il allait se morfondre toute la nuit, parce que d'habitude Toundrah était là: elle dormait avec lui la plupart du temps et Bill détestait se sentir seul surtout quand il traversait une sale période bien déprimante. Il resta figé à fixer sa maison, il n'entendait plus la mère de Tom qui lui souhaitait tout un tas de choses, complètement incapable de bouger ou de défaire sa ceinture.
Sa gorge se noua alors que..
"Bill, tu dois rentrer chez toi pour te reposer, nous reviendrons demain dans l'après midi. Et tu devrais avaler quelque chose aussi: tu es si pâle."
Il se tourna vers Tom, les yeux au bord des larmes et saisissant sa main dans la sienne, tout son corps suppliait pour qu'il ne laisse pas seul, pas ici, pas maintenant. Il était trop vulnérable pour supporter ça.
"Tom, je.. "
Sa voix s'étrangla, il n'avait même plus la force de parler. C'était sa chienne, le seul être qui ne l'avait jamais trahi, jamais trompé, qui avait toujours été là: restant des heures à son chevet quand il était malade.
Tom le fixa un long moment et reçut le message. Il déboucla sa ceinture à son tour.
"Maman, je vais rester avec Bill."
"D'accord mon chéri mais sois gentil avec lui: Bill appelle moi si Tom devient insupportable. Allez et ne vous couchez pas trop tard."
"M'amn c'est bon on a pas 10 ans non plus."
"Parfois je me le demande. Fais de beaux rêves mon chéri."
Ils descendirent du véhicule et Bill avança les yeux rivés au sol pour cacher son petit sourire, bon okay: Tom avait été le pire des salauds mais en ce moment il voulait juste oublier ce détail et puis il pouvait être comme un garde qui veillerait sur lui, comme un infirmier. Bill hocha la tête tout en déverrouillant la porte.
Il balança ses chaussures dans l'entrée et enfila ses pantoufles Bourriquet. Il prêta des pantoufles toutes aussi ridicules à Tom et s'étala comme un gros sac de patates sur le sofa. Toutes ces émotions l'avaient vidé et il était incapable de faire le moindre petit effort. Tom l'observa le trouvant vraiment craquant, comme un petit enfant qui ne demandait que des câlins. Il s'assit à coté de lui et ouvrit ses bras.
"Viens là Billy." L'invita Tom.
Bill ne se fit pas prier et se colla à ce corps qui lui promettait douceur et attention. Il s'accrocha à Tom en ronronnant. C'était chaud, confortable, ça sentait bon et il se sentait partir, dans des souvenirs d'eux d'avant la catastrophe. Il soupira en s'accrochant plus fort à son sweat: pourquoi Tom avait tout foutu par terre ?
Ce pourquoi qui le poursuivait sans relâche et qui s'échappa de ses lèvres.
"Pourquoi quoi Billy?" tenta le blond dans un souffle en priant qu'il ne fasse pas référence à ce qu'il pensait.
"Tu m'avais promis." Expliqua Bill la voix à moitié brisée.
Tom se pinça l'arête du nez, voilà: on y était. Il avait vraiment espéré que Bill accepte d'écouter ses excuses mais une explication, il voulait une fichue explication. Et il n'en avait aucune à part que ce maudit soir, Pammy avait été là, qu'il était bourré et triste et..
"Parce que je suis le mec le plus stupide de l'univers surement."
Et sur le coup il le pensait réellement: il vivait un truc intense et bon avec Bill et pourtant il avait.. qu'est ce qu'il avait fait au juste? Bill bougea dans ses bras, et ses yeux se retrouvèrent en face des siens, Tom était sincère, il transpirait le regret. Et puis malgré son acharnement à vouloir l'effacer de sa vie et à le faire souffrir, il était toujours revenu à la charge, mais il ne savait pas s'il serait capable de supporter un autre coup du sort.
"Elle m'a expliqué que c'était plus fort que toi, que t'avais la trouille de t'engager et je peux pas Tom, je peux pas me demander à chaque seconde si tu risques de me larguer par sms parce que t'auras trop peur. Alors je veux juste que tu fasses de cette dernière semaine quelque chose de magique, fais moi rêver juste .. et après plus de drames."
La gorge de Tom se noua mais il avait merdé et même si cette demande représentait une sorte de seconde chance, ça pouvait aussi être affreusement cruel parce qu'il voulait Bill et plus d'une semaine mais …
C'était le deal, ça avait toujours été le deal: un mois et pas plus. Alors il n'allait pas fondre en larmes comme une gamine de 12 ans, il n'allait pas supplier non plus.
Juste offrir à Bill ce qu'il mérite.
"D'accord Billy, je vais te traiter comme une vraie princesse."
Bill lui sourit et les lèvres de Tom se posèrent contre les siennes, il se sentit partir loin. Sa peau frissonna de partout et son cœur se regonfla. Il savait bien qu'il s'infligeait une vraie torture mais il voulait que Tom soit le premier à défaut de pouvoir attendre mieux: il l'avait su dès le départ, et il avait besoin de ces limites.
Et une semaine ne semblait pas trop dangereuse, non ?
Son cœur cognait fort contre sa cage thoracique alors que Tom l'avait complètement enfermé dans ses bras, sa bouche, sa langue, se mouvait contre la sienne, jouant, s'enroulant, la caressant, et c'était divinement bon, trop bon.
Dans le mouvement Tom les allongea en gémissant, s'alignant sur le corps de Bill, ils s'embrassaient de plus en plus chaudement, leurs doigts trainèrent sous les vêtements et des soupirs de plaisir meublaient le silence. Tom bougea son bras, afin d'avoir un appui pour son coude et appuya sur quelque chose.
Il n'y prit pas garde, mais d'autres voix chaudes se mêlèrent aux leurs.
"Oh Non…pas ça!" gémit Bill mort de honte alors que les yeux de Tom se rivèrent sur l'écran.
Il venait de lancer le petit film que Bill s'était gardé pour sa soirée solitaire, un mec était à quatre pattes se faisant prendre énergiquement par son partenaire musclé et sexy et en suçait un autre qui possédait une queue énorme en même temps. Et il avait l'air d'apprécier réellement le traitement. Tom sourit et éclata de rires, Bill se tortilla et récupéra l'objet du délit afin de stopper le film porno. Il avait les yeux baissés et le visage tout rouge. Tom releva son menton et embrassa son nez.
"Tu es un petit pervers en fait!" le taquina Tom
"T'es un million de fois pire que moi!" répondit Bill en frappant son torse.
"J'avoue.. allez, je me remettrais du choc, ne t'inquiète pas pour moi."
Bill roula des yeux et répondit au sourire chaleureux du blond, après tout Tom était mal placé pour le juger là-dessus.
….
Bill avait avalé les spaghettis bolognaises que lui avait cuisiné Tom, il avait surveillé la cuisson, avait réchauffé la sauce, avait mélangé le tout. Il avait rempli les assiettes et avait tenté de dessiner la part de Bill en un petit cœur. Bon il fallait le deviner mais les yeux de Bill avaient brillés et c'était tout ce qui comptait.
Ils avaient achevé le repas par des compotes pomme banane. Tom s'était même occupé de toute la vaisselle et Bill attendait gentiment sur une des chaises de la petite cuisine, matant ses fesses, est ce que Tom allait continuer son apprentissage cette nuit? Ses joues prirent une jolie couleur et..
"Je vais prendre une douche." L'informa Bill en s'envolant comme un éclair.
Tom en profita pour réfléchir tranquillement: si Bill lui donnait une semaine, il fallait qu'il sorte le grand jeu, qu'il lui montre à quel point il était important pour lui mais que pouvait-il bien faire pour ça?
Il s'affichait avec lui sans problème alors qu'aucune fille avant lui n'avait eu ce privilège: il connaissait une partie de sa famille.. C'était si compliqué car il savait que Bill le rembarrerait s'il lui demandait de rester avec lui. Il l'avait trop blessé pour avoir cette chance, il sourit tristement: le temps allait être si précieux pendant cette semaine. Il se réveilla et monta à l'étage, entendit l'eau de la douche et hésita.
Il frappa mais à cause de l'eau Bill n'entendit pas alors il ouvrit doucement la porte.
"Est-ce que je peux te rejoindre?"
Bill arrêta le robinet et réfléchit une seconde et lui lança un oui assez fort avant de laisser le jet masser à nouveau sa peau. Tom se pressa d'enlever ses vêtements les laissant trainer n'importe comment et d'ouvrir la porte de la petite cabine: il avait presque oublié à quel point le corps de Bill était sensuel avec ses courbes hallucinantes.
La cabine ici était plus étroite que chez lui, et ils se touchaient à chaque mouvement mais Tom n'allait pas se plaindre. Bill ouvrit les yeux, mordillant un peu ses lèvres: okay Tom l'avait déjà vu dans cette tenue mais tout de même mais… Tom semblait juste rivé à ses yeux et ça le gêna un peu plus, son regard était si intense comme s'il voulait lui passer un message important.
Bill cassa l'échange et lui tendit le produit moussant. Tom en mit une généreuse couche dans ses mains alors que Bill releva son visage vers le jet d'eau et ferma les yeux. Tom sourit, il était si magnifique: son ventre se tordit: il ne pouvait pas le laisser sortir de sa vie et peu importait le temps que ça lui prendrait: il allait se battre pour l'avoir entièrement et complètement. Pas juste dans son lit, non, il le voulait pour une histoire comme dans les films, il le voulait pour des années et des années…
Au lieu de se nettoyer il préférait passer ses mains sur les hanches de Bill qui frissonna au toucher mais il le laissa faire. Il se tourna même pour que Tom lui frotte le dos: il avait plus qu'apprécier la dernière fois. Tom sourit et le massa gentiment laissant Bill se détendre au fur et à mesure.
Ces caresses étaient un remède idéal pour décompresser et oublier que Toundrah était seule ou presque dans un box chez le vétérinaire.
….
*******************
Bonjour les gens XD
Alors alors...
J'espère que vous avez aimé et Tom a sauvé Toundrah quand même XDDDDD
et puis Bill lui laisse un peu plus de terrain même si il y met des conditions...
A vos claviers
Bonjour les gens XD
Alors alors...
J'espère que vous avez aimé et Tom a sauvé Toundrah quand même XDDDDD
et puis Bill lui laisse un peu plus de terrain même si il y met des conditions...
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cindy
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Stéphanie
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Laura
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